je sais que se sont des toilettes pour filles, et alors ! [ pv Alix ]

Arthur venait de passer devant une porte représentant les toilettes des filles et pas n'importe lesquelles, des désafectées qui servaient de refuges pour des trucs douteux ou pour des trucs privés car personne ne venait réellement y fourrer son nez. Le fantôme de Mimi Geignarde y étant surement pour quelque chose. Il la voyait déjà d'ici mais tant pis, il voulait un endroit au calme et en passant devant cela lui avait parrut l'endroit le plus approrié finalement. Il poussa donc la porte et entra dans les toilettes. Il pénétra dans la pièce et se mit au sol, contre le mur du fond. Il avait besoin de calme pour réfléchir, pour tenter de mettre à jour ses pensées. Il se sentait vraiment bizarre et faible en ce moment à un point inimaginable. Il ne voulait pas qu'on le voit même s'il était évident qu'il ne pleurerait pas.

Contre le mur il laissa vagabonder ses pensées, il essayait de laisser tout ce qui le rongeait s'enfuir de son corps pour se prommener dans la pièce. Il voulait que tout parte, il voulait ne plus penser à rien, ne plus cogiter...Il laissa s'échapper un reniflement pénible avant de reprendre un peu de constance. Il était au fond, contre le mur en face de la porte. Pensant que personne ne viendrait mais qu'elle ne fut pas sa surprise de voir la porte s'ouvrir. Il poussa un soupir avant de regarder d'un air méchant en face de lui. Il s'était relever d'un bon avant que la personne ne le voit, avant qu'Alix ne le voit au sol.

Arthur dévisagea Alix, il la regardait de bas en haut, de haut en bas avant qu'elle ne lui pose la question qu'il était certain d'entendre, à savoir ce qu'il faisait ici. Ca ne se voyait pas, il ne faisait rien ! Oui rien ! Il laissait partir ses pensées en espérant ne plus jamais à avoir à s'en occuper. Franchement, on avait pas idée d'avoir un cerveau qui ne nous laissait jamais de repos et qui voulait toujours avoir quelque chose à faire ou à étudier ! Il n'avait toujours pas répondu à Alix mais le cheminemant ci-dessus n'avait en fait pas prit plus de trente secondes à Arthur qui répondit avec élégance

- Je ne faisait rien de particulier, tout juste espérais-je ne pas voir Mimi...Et toi, que veux tu ?

Il se demandait bien ce qu'elle faisait là. Franchement, sauf pour un truc louche ou pour se laisser aller on ne venait pas là, pas pour aller aux toilettes du moins ! Mimi était osuvent là et d'ailleurs elle ne tarderait pas à venir. D'ailleurs en parlant du loup, la voilà avec son gémissement plaintif.

Que faites vous là, vous êtes venu voir la pauvre Mimi, l'insignifiante et grotesque Mimi Geignarde hein !

Parano ce fantôme, parano ! Arthur n'avait pas de temps pour elle

- Va dire ça à ceux que ça intéresse, va chialer ailleurs pauvre idiote, même fantôme tu restes une sale sang de bourbe.

Mimi parrut choquér et poussa un cri à fendre l'âme avant de plonger dans un des éviers provoquant une éclaboussure qui vint mouiller Arthur. Il poussa un juron et se sécha à l'aide de sa baguette tout en regardant la jeune femme qui n'avait pas eu le temps de lui répondre avant l'inutile intervention de la furie fantomatique.

Arthur eu comme la vague impression qu'Alix n'avait pas aimer qu'il la dévisage ansi mais rappelons lui que Arhtur n'a jamais prit la peine de se gêner en quoi que soit. Il avait envie de la regarder et bien soit. Il avait eu envie d'envoyer prommener l'autre bigleuse transparente et bien il l'avait fait. Il faisait avec ses envies et même si elles étaient souvent pas très gaies et bien tant pis. Il s'était certes laissé aller mais aujourd'hui il allait mal alors à bas les bonnes manières. Alix pouvait déjà s'estimer heureuse d'être une serpentarde, mignonne de surcroît, car sinon elle aurait passé un sale quart d'heure à n'en pas douter.

Il écoutait d'une oreille distrète ce qu'elle racontait. Rentrée pour voir ? Ne pas entendre Mimi faisait donc en réalité bizarre à tout le monde. L'entendre gémir faisait tellement partit du quotidien que ne plus l'entendre revenait à douter de la normalité de la chose. Elle avait instauré son petit monde et appartenai autant à la méoire du château que les tapisseries au final, pas glorieux selon Arthur. Qui avait envie de finir comme ça, au moins elle pourrait jouer la discrétion. Mais non, madame se montrait et devenait la risée du monde des fantômes de Poudlard, l'anti-sociale fantomatique par excellence. Il se demandait même comme cela pouvait faire une bonne minute qu'il déblaterrait mentalement des horreurs inutiles sur elle. Enfin, il se tourna vers Alix

- Tu trouvais tellement bizarre de ne pas l'entendre que tu es venue vérifier. On l'entend tellement se plaindre que ça manquerait presque de plus l'entendre. j'ai bien dit presque parce que personnelement moins je la voit et mieux je me porte.

On entendit un sanglot proveant d'une des cabines de toilette, Mimi était revenue et apparement repartie aussi vite à en juger par la formation d'une flaque sous une des cabines? Espérons qu'elle ne revienne plus cette fois.

- Comme tu peux le voir elle est tout à fait dans son état normal, rien d'anormal. J'espérais aussi attraper un élève faisant un sale coup mais pas de chance, personne aujourd'hui.

Bah oui, encore le prétexte du rôle de préfet, parfait alibi en toute circonstances.

Quand la jeune femme prononça le mot préfet, Arthur eut comme la facheuse impression qu'elle n'était pas tout à fait d'accord avec cela. Elle n'allait tout de même pas elle aussi le lui reprocher. Il n'avait pas choisit ce poste, on le lui avait donner, Dumbledore le lui avait donner. Au lieu de le mettre en valeur dans sa maison, cela n'avait fait que la rabaisser finalement. Un mal pour un bien. Il adorait son poste cependant et ne voulait pas le perdre, c'était sa seule source de respect dans sa maison alors. Il avait complétement oublier Mimi et tout ce qui reliait à elle. Il ne repensait plus qu'à son rôle de préfet. Il faisait bien son travail. Son sang ne jouait en rien là dedans. Il était très furieux au fond mais n'ayant pas la garantie formelle qu'elle avait vu la chose comme ça il ne dit rien. Il voulait changer de sujet

- Sinon, toi ça va ?

Bah oui, il n'avait trouvé de mieux que ça en fait sur le moment.

Arthur espérait que le changement de conversation et la déviation qu'il avait faite conviendrait à la jeune femme. Cela semblait être le cas ce qui était plutôt bien alors. Elle répondit tout naturelement avec un beau sourire. Les vacances ? Ah oui les vacances ? il n'y avait pas pensé en fait. Bonne question ? Il n'était certes pas malheureux, il n'aura pas à rentrer chez lui mais de là à rester là, bof, inon, en fait cela lui plaisait pas mal.

- Personnelement ça me convient mais ça n'engage que moi et puis il y aura des bals pour mettre un peu d 'ambiance non ?

Oui un peu d 'ambiance, normalement.

Athur écouta la jeune femme raconter en quoi pour elle il était ennuyeux de ne pas pouvoir assister à une fête de noël en famille. Arthur au fond aurait peut-être aimé vivre quelque chose dans le même genre mais l'occasion ne s'étant pas présenté et sa famille étant ou restant ce qu'elle est, il n'avait aucun regret. Il l'écouta parler de sa fête habituelle avec famille, paysage irlandais. Puis elle enchaîne sur le bal, un événement qui ne semblait pas trop la ravir. Pourquoi donc ? Juste à cause du vieu fou ? Humm...Ah et de la piètre qualité comparé aux bals maison des O'Donnell. Arthur lui détestait les soirée mondaines privés hors Poudlard où les remarques fusaient et où on le mettait de toute façon hors d'une case. ici, il avait au moins des cavalières charmantes et quelques bonnes têtes bien qu'elles fussent rares à qui raconter deux trois idioties en cours de route.

- Oui, c'est un point de vue, personnellement je ne suis pas contre l'idée de bals même si je reconnais que la qualité ne vaut pas celle d'une soirée mondaine. De plus, notre noble maison ne manque pas de cavaliers...

Il était persuadé qu'Alix avait déjà trouver des cavaliers pour les bals comme lui en avait déjà trouvé aussi. ( Si Vesper revient ^^ ]

Arthur attendait la réponse de la jeune femme, il regarda laors le vieux lavabo qui se dressait en plein milieu de la pièce, vraiment déprimant comme endroit, il avait bien choisit son lieu de rréflexion même si au final, il n'a pas réfléchit vraiment à ce qu'il aurait voulu mais il ne regrettait pas cependant l'apparition d'Alix. Elle répondit alors à sa question. Pas de propositions intéressantes ? Hum...Cela ne l'étonnait guère, la belle Alix semblait une femme de goût et une femme de goût avait toujours le choix au fond. Il regrettait qu'il n y eut pas trois bals pour emmener la belle aussi...Enfin...

- Tu trouveras, je ne me fais pas de soucis pour toi. Moi j'ai trouvé mes deux cavalières oui, dans notre maison évidement.

Bah oui, petite précision toujours utile non ?

Arthur sentit un frisson de méchanceté lui parcours l'échine. Il n'aimait pas qu'on le juge sur ce point, il aimait sa maison, en était fier et devait faire tout ce qui était en son pouvoir pour montrer qu'il en avait le droit et le mérite peut-être plus que la plupart si ça se trouve. Il se sentait d'humeur serpentarde comme il disait, cynique et perfide au possible.

- Pour me protéger je pense...

Pourquoi avait-il dit cela, c'était sortit tout seul du fond de sa pensée, son subconscient serait s'exprimer ? Curieux...M'enfin ce n'était que la vérité alors bon pourquoi se mentir. Il avait dit pour le fond de sa pensée, ce qu'il ressentait réellement et finalement il n'y avait pas de mal à ça, c'était l'inhabitude la chose qui lui rendait la chose étrange. Il fallait commencer à s'y habituer de nouveau afin de sortir un peu de sa coquille.

Encore une personne de plus qui ne le comprenait pas, pas vraiment étrange, il en avait l'habitude en fait maintenant. Il avait même l'impression qu'il se résumait à cela, un jeune homme incompréhensible et désorienté que personne ne comprend et que personne ne veut comprendre...
Il se devait de répondre à la question d'Alix desfois qu'elle le comprenne mieux.

- Je n'en doute pas mais ce n'est pas le cas de tous. Tu trouves que j'y ai ma place, j'en suis ravi mais vous êtes peu nombreux dans ce cas là. J'ai mes preuves à faire. Je me protège des gens qui seraient ravi de m'écraser plutôt que de me relever si tu veux mon avis.

Il ne savait pas pourquoi il lui disait tout cela mais par Merlin, cela faisait du bien au fond.

Arthur pensait qu'elle allait lui parler de tout sans comprendre mais il se trompait. Elle avait saisi ce que lui avait mit des années à asssimiler. Elle était même presque gêné pour lui et cela gênait un peu Arthur. Pas de pitié pour lui, il se le refusait, pas question, il n'avait pas à faire pitié à qui que soit. Il était Arthur DeLune quand même ! Il était assez content qu'elle le comprenne mais cela devait s'arrêter là, finit la discussion sur son cas personnel, si elle voulait parler, qu'elle parle d'elle alors !

- Bon assez parler de moi...Parlons...De toi plutôt

Il voulait éviter de nouveau le sujet de sa propre personne, il préférait écouter Alix déballer la sienne ou parler de la météo même si elle préférait mais plus de lui, il en avait trop dit sur sa personne.