Cours Potions N°1 - Pratique [ L'amortentia - 6ème a 7ème Année ]

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Aujourd'hui,le ciel était clair, il n'y avait plus de nuage, et puis en Avril, il y avait déjà les rayons de soleil qui permettait de ne pas trembler, c'était très bien pour son cours pratique, les élèves ne se plaignerait pas et puis si il n'était pas content, il n'irait plus faire ces cours en dehors de la salle de potion, il leur avait quand même préparé un cours peu habituel a l'exterieur, Severus lui restait a chaque fois dans sa salle ! Avant d'être sortie de sa salle, Horace avait remplacé sa cape noire, par un imperméable vert sombre. Et puis Slughorn avait envie de sortir, et il s’était trouvé un terrain de jeu parfait pour son nouveau cours!

Le professeur Slughorn arriva enfin près du lac, il avait en tout x élèves, il les avait compté car il n'aurait pas voulu en perdre un en chemin, pendant tout le trajet, les élèves discutaient entre eux, et se demandait ce qu'il allait bien pouvoir faire ici. Slughorn avait disposé des caisses en bois, assez espacé, pour que les élèves puissent poser les différents ingrédients, il y avait aussi une table ou se trouvait déjà quelque ingrédient.Il regarda les élèves qui c'était alignés pour être sur de ne rien manquer, il se dirigea vers eux, avec un petit sac en toile qu'il tendait vers eux.

<< Je vous prierai de me donner vos baguettes magiques, je vous les rendrais après ne vous inquietez pas! >>

Il ramassa les baguettes une a une, avec quelque réticences de certains élèves...

<< Comme je vous les dis L'Amortentia est le plus puissant philtre d'amour au monde. Elle est reconnaissable à sa couleur nacrée et à sa vapeur qui s'élève en spirales, aujourd'hui nous allons rechercher l'élement essentielle a sa composition, sans cela votre potion ne marchera pas et je n'ose imaginer les conséquences, le philtre pourrait bien se retourner contre vous , si vous avez bien écoutez mon cours, vous savez quel élément il faut me ramener, maintenant placé vous chacun près d'une des caisses, disposez vos chaudron a coté. Petit rappel sur ce matériel que vous avez vu en 1ère année dans vos manuels. Le chaudron est un récipient de métal, en cuivre rouge ou en fer, muni d'une anse mobile par laquelle on le suspend à la crémaillère. Il est pourvu d'un couvercle. Certains chaudrons comportent trois pieds; d'autres, sans pieds, sont déposés sur un TREPIED ou suspendus à la crémaillère. Les plus petits chaudrons servent à faire chauffer l'eau ou à faire cuire les aliments; les plus gros, pouvant contenir jusqu'à vingt gallons, servent à divers travaux domestiques, telle la fabrication du savon >>

Après ce bref rappel, qu'il leur serait surement inutiles, mais il preferait que ces élèves sachent aussi avec quoi il confectionné leur potion. Il attendit que les élèves se mettent a place, il entendit des "Amplifacatum", c'était déjà sa, même si il était pas professeur de sortilèges, il aimait que ces éleves soit doués partout, et c'est pour cela que certains avait la chance de faire partie du Club Slug...Ce club n'était que pour les élèves interessant et doué. Bon quand le silence revint, il se plaça a coté de la table où était les ingrédients. Il leur donna a chacun les autres ingrédients utiles pour la préparation de la potion

<< Il vous faut de la Belladone et du puffapod Puffapod qui est une grosses cosses rosées pleines de graines qui explosent en fleurs si on les lâchent, maintenant il vous manque l'ingrédient important, je les ai déposé autour du lac, ce sont des pétales, et donc pas des plantes, je souhaite donc que vous vous mettiez a les recherchez et que vous me dites où vous les avez trouvez, ensuite je vous laisserai préparer la potion et les instructions suivantes .>>

Il ne savait pas si les élèves avait bien compris ce qu'il expliquait. Mais pour l'instant c'était une tache assez simple, retrouver une pétale sans la casser, c'était pas si difficile que sa, mais sans baguette la tache serait un peu plus compliqué.

Les endroits où sont les pétales ( chacun un, les premiers seront bien sur les premiers servis ):

Spoiler:

<< Ensuite après l'avoir trouvé, vous mettrez d'abord le puffapod, vous devriez separer les graines de la cosses sans les lachez. N'oubliez pas de mettre vos gants surtout! Je n'aimerai pas que mes élèves soit blessé. Ensuite mettez 4g de Belladone, pas une goute de plus, servez vous de vos balances... Deposé délicatement la pétale, et mélangez jusqu'a ce qu'elle ci ce dissout et provoque une vapeur s'échappant en spirale... Après sa je vous demanderai de me dire quelle odeur vous ressentez face a cette potion, l'amortentia a une odeur différente pour chacun. Surtout n'humez pas la potion des autres, si celle ci est bien faite, vous risquerez d'être surpris de l'effet >>

Il lisait dans les yeux de certains élèves, que cette potions pourrait leur être utile pour séduire leurs camarades.

<< Cette potion est interdite a faire ailleurs que dans ce cours bien sur! A vous de jouez maintenant! >>

[ A votre imagination, decrivez moi comment vous l'avez trouvé, la pétale a une senteur particulière pour chacun, que vous retrouvez a la fin de la confection, celle ci vous attire automatiquement, ensuite la réalisation de la potion comment vous avez mis les élèments, les doses, comment vous avez ouvert la fleurs pour les graines... et ensuite ce que vous ressentez après la conception, bien sur il est possible que vous ne la reussisez pas, cette pratique sera noté sur 20. ]

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Durant le trajet qui mena les élèves au lac à la suite du professeur Slughorn, Andrex resta au sein du groupe mais sans chercher à participer à aucune des discussions des autres élèves, se contentant d’écouter les bribes de conversation à sa portée tout en affichant un air distrait et peu intéressé.

Même s’il n’en aimait guère le prétexte, il appréciait cette sortie. L’air frais de ce début d’avril lui était agréable, surtout en contraste avec l’air renfermé des cachots où se déroulaient habituellement les cours de potions.

Une fois qu’ils furent arrivés près du lac, il écouta avec attention les explications du professeur, comme le bon petit Serdaigle qu’il devait être. Il n’éleva aucune protestation quand Slughorn demanda leurs baguettes et s’exécuta avec une apparente impassibilité, mais il dut contenir sa soudaine colère : retirer sa baguette à un sorcier était un acte grave, qui devrait avoir une justification d’égale gravité. Si les traditions Sang-Pur avaient été maintenues à Poudlard, le professeur aurait mis son poste en péril avec cette simple demande. Il aurait dû se contenter de prévenir les élèves qu’ils n’étaient pas autorisés à sortir leurs baguettes durant ce cours. Honnêtement, on aurait pu croire que le Directeur de la Maison Serpentard serait à même d’éviter de telles bévues.

Enervé comme il l’était, Andrew faillit oublier d’agrandir son chaudron avant de déposer sa baguette. Bien évidemment, tous les élèves n’y avaient pas pensé, mais il n’allait certainement pas le signaler. Le professeur serait obligé de leur redonner leurs baguettes avant de les leurs reprendre, cela ferait perdre du temps à tout le monde, et ce serait bien fait. Peut-être cela aiderait-il Slughorn à comprendre que l’idée de les leur retirer n’était pas l’une des meilleures qu’il ait jamais eues.

Bien évidemment, comme Andrew avait hâte de pouvoir s’éloigner pour se calmer, Slughorn décida que le moment était approprié pour faire un rappel total injustifié sur les chaudrons. Franchement, tous les élèves présents avaient réussi à passer en ASPIC de potions, leur professeur imaginait-il sérieusement qu’ils ne maîtrisaient pas les notions élémentaires de première année ? Loin de se calmer, le jeune Serdaigle se sentait de plus en plus exaspéré par la tournure que prenait le cours.

Mais enfin, après un temps bien trop long à son goût, les explications se terminèrent et il fut temps pour les élèves de se disperser pour partir à la recherche des fameux pétales. Aussitôt, Andrew se dirigea vers le bord du lac d’un pas vif, et s’accorda une ou deux minutes pour faire le vide et ne plus avoir à forcer son indifférence habituelle. Ensuite seulement, il commença à observer les alentours pour repérer l’ingrédient manquant. Il trouvait plutôt stupide cette espèce de simulation de recherche d’ingrédient, vu que la situation créée était totalement artificielle, mais il n’était pas du genre à questionner les méthodes de ses enseignants. Il avait établi dès sa première année que Poudlard était une école médiocre, et en avait pris son parti, se chargeant de compléter son éducation par lui-même pour compenser les lacunes du système d’enseignement et des professeurs.

Avec son sens de l’observation affûté, il ne lui fallut pas longtemps pour détecter des taches rosées à la surface du lac. Mais il n’avait pas sa baguette, et nulle envie de se mouiller pour récupérer un pétale… et chercha donc s’il n’y aurait pas des pétales ailleurs. Sachant désormais que les pétales en question déteignaient sur leur environnement, il chercha d’autres zones à la coloration rose… et trouva non loin de lui un caillou qui avait pris cette couleur. Il le souleva, et ramassa le pétale qui se trouvait effectivement en dessous avec délicatesse, pour ne pas risquer de l’abîmer. L’effluve qui en émanait constituait un curieux mélange. Après un peu de temps, il identifia des odeurs de vieux cuir, de parchemin, de lilas, d’orage et de chocolat.

Il attendit que deux ou trois élèves aient déjà montré leur trouvaille à Slughorn avant de s’approcher à son tour du Maître de Potions. Son énervement resta cette fois facilement maîtrisable, et il put s’adresser à lui aussi respectueusement que de coutume.

« J’ai trouvé ce pétale près de la berge, sous un galet, Professeur. »

Une fois que Slughorn eut vérifié que le pétale était intact et utilisable, Andrew pu finalement passer à la préparation de la potion proprement dite. Il commença par déplacer son chaudron pour être suffisamment éloigné des autres et ne pas risquer d’être atteint en cas d’explosion. Et accessoirement, il ne tenait pas du tout, mais alors du tout, à courir le risque de sentir le contenu d'un autre chaudron que le sien. Il se méfiait toujours de ses condisciples, même si en cours d’ASPIC, on pouvait espérer que les plus gros dégâts seraient évités.

Une fois le chaudron en place, il dut se retenir une fois de plus pour ne pas manifester l’irritation que lui causait l’absence de sa baguette : il fut obligé d’allumer le feu vulgairement, comme un Moldu ! Et de remplir son chaudron d’eau de la même manière ! En plus, sans magie, la préparation de la potion perdait en précision : il ne pouvait pas ajuster la température avec exactitude, et l’eau n’était pas pure. Vraiment, à quoi Slughorn jouait-il ?

Il estima pas un rapide calcul mental le temps nécessaire au liquide pour prendre la température voulue, et profita de cet intervalle pour séparer les graines du puffapod puffapod, se servant à cette fin des pinces plates contenues dans son kit d’instruments mais protégeant tout de même ses mains avec des gants, puis pour peser avec soin les quatre grammes de belladone nécessaires. Une fois cela fait, l’eau était à la température indiquée dans les instructions, et il put y ajouter les ingrédients qu’il venait de préparer. D’abord les graines, puis la belladone. Et enfin, ce fut le tour du pétale, qu’il déposa à la surface et fit dissoudre progressivement.

Comme toujours, il éprouva une certaine satisfaction en constatant que sa potion prenait exactement l’aspect décrit dans son livre de cours comme celui indiquant une réussite. Cependant, ne voulant pas obtenir un trop bon résultat, il attendit volontairement trop longtemps avant de couper le feu, sachant que cela n’aurait pas d’autre effet fâcheux que de diminuer la puissance de la potion. D’ailleurs, l’odeur se fit également moins présente, ce qui le soulagea. A la longue, il aurait pu avoir du mal à retenir une expression de contentement, et il refusait de se laisser aller de la sorte.

Sa potion terminée, il mit un échantillon en fiole pour la collecte que ferait sans doute le professeur, et observa le reste des élèves pour voir où ils en étaient.

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Ce matin là, le professeur de potion, le professeur Horace Slughorn avait décidé de faire cours dehors. Un peu de pratique de changer. La dernier cours de Potion avec l’ancien professeur de Potion, elle avait vomis dans sa potion d’amnésie à cause de l’odeur et avait fait exploser son contenue et avait valut à tout le monde une punition collective. En classe, la jeune femme se trouver juste à coté de son amie Amaurie, mais Jessica ne parler pas beaucoup en cours, ni jamais pour tout avouer. Jessica était assez bien lunée ce jour là, mais elle avait un mauvais pressentiment sur la sortie dans le parc. Cependant elle tenta d’être tout de même optimiste et plu sou moins positive. Il ne fallait pas s’attendre non plus a ce qu’elle soit aimable et soit joyeuse avec tout le monde… Alors que tout le monde était en classe, le professeur annonça que pour créer une potion d’amour, plus connu sous le nom de filtre d’amour, beaucoup d’élèves s’étaient réjoui à l’idée et sautiller sur place. Jessica s’en fichait, elle n’avait personne à envouter et ne craignait pas que quelqu’un vienne lui mettre la solution dans son verre… Alors tout le monde rangea ses affaires et sortaient de la classe bruyamment ; Jessica sortie la dernière et referma la porter derrière son dos.

Jessica avait suivit tout le monde, un peu à l’arrière de tout le monde. La jeune femme avait entendu parler d’un club que le professeur avait crée et il s’entourer des meilleur élèves et des plus intéressante, elle n’était pas forcement la plus doué, mais son excentricité l’intéresserai peu être. Quoi qu’il en soit elle ne voulait pour aucun prix faire parti de ce club. Et le pire c’était que la venu au club après invitation était obligatoire, l’idée de devoir passer des soirées en tête à tête avec les intello du coin et les célébrités de l’école lui fessait presque peur. Elle ne parler à personne, d’ailleurs elle ne disait rien celui lui éviter de se faire remarquer. Elle douta qu’il aimer les élèves qui savent se débrouiller mais qui son discret. Mis à part la discrétion physique elle devrait pouvoir y arriver. La jeune femme écouta sans bruit les explications du professeur de potions, elle douta que les renseignements sur le chaudron servent à quelques choses. Il fallait donc trouver un pétale pour faire cette potion. Et comme par hasard ; ses pétales se trouvaient au bord du lac… La jeune fille avait la phobie de l’eau. Elle dut comme tous ses camarades se mettre à la recherche, elle fessait le tour du lac en tenant trois mètre d’intervalle avec la berge. Jesse passa prés d’elle et partait dans la direction opposée la laissant seule. Elle marcha quelque minutes et vit au bord de l’eau un pétale qui flotter, l’eau autour de celle-ci était devenu rose. Bien que se soit sa couleur favorite elle n’eut pas envie de s’aventurer, elle s’approcha de la berge et s’agenouilla et pencha sa main en tremblant mais elle n’avait pas le bras assez long… Elle recula contre un arbre et reprit doucement son souffle. Pourquoi le professeur avait’ il mit ses pétales dans l’eau et en plus de cela il avait prit leur baguette? Elle se calma et vit une petite branche sur le sol, elle la saisit du bout des doigts, elle retourna au bord de l’eau et toucha le pétale du bout de la branche, la jeune femme la tira et elle la saisit doucement du bout des doigts elle glissa et son pied se retrouva dans l’eau, elle se rattrapa au sol dans un immense cri de frayeur.

« NON ! »

La jeune femme se sauva et s’allongea sur le dos et éclata en sanglots, la banche qu’elle avait trouvé était devenue à moitié rose mais elle n’y prêta pas attention. Après avoir sangloté quelque instant elle se calma puis se releva et retourna auprès du groupe. Quand elle arriva, un Serdaigle venait d’arriver et semblait fier de lui en annonçant qu’il l’avait trouvé sous d’un galet. Elle aussi aurait aimé en trouver un sous un galet, cela l’aurait arrangé. Elle n’alla pas voir le professeur, elle préféra mieux éviter d’ailleurs. La jeune femme avait ses dessous de ses yeux tout noirs, tout avait coulés, son maquillages dans ses larmes folles. Elle alla auprès de son chaudron, et enfila ses gants pour ne pas abimer ses mains puis elle prit du puffapod, elle passa une minute a séparé les graines de la crosses, la jeune femme les déposa dans le chaudron ; elle mesura dans la balance 4g de Belladone en observant très attentivement au millimètre prés. Puis elle déposa le pétale d’amortentia… Jessica prit l’agitateur et remua la potion jusqu'à ce que le pétale disparu totalement dissoute et la potion était devenue tout rose. La jeune femme savait qu’il fallait dire au professeur ce qu’elle sentait comme odeur, elle sentit une odeur sucrée et elle avait une légère odeur de muguet, c’était une odeur envoutante. La jeune femme prit une fiole et la remplie avec beaucoup de précaution. Elle regarda se que les autres avaient fait, elle vit quelqu’un remplir une fiole et la mettre dans sa poche et en remplir une deuxième pour le professeur, elle sourit faiblement et demeura silencieuse. La jeune femme de Poufsouffle aperçut le jeune homme fier d’avoir retourné un galet de d’avoir trouver son pétale qui regardait aussi les autres finir. Elle resta silencieuse et se tourna vers son chaudron et resta silencieuse, elle sentit un mal de tête l’envahir, l’odeur devenait assez étourdissante…

Charlotte avait suivi les autres élèves jusqu'à l'extérieur. Heureusement qu'il faisait beau. Par les caleçons de Merlin, quel doxy avait piqué Slughy pour qu'il fasse son cours dehors ...
Les pelouses du parc étaient désertes tout comme les rives du lac noir près desquelles ils se tenaient tous à présent. Des caisses de bois renversées étaient disposées ça et là. Apparemment elles serviraient de paillasses. Charlotte s'en octroya une non loin de l'eau. Elle commença à sortir ses affaires. Son chaudron retrouva une taille normale au moment même où leur directeur de maison annonça qu'il allait leur confisquer leurs baguettes ? Mais que lui arrivait-il ? Etait-il tombé sur la tête ? S'il ne s'était s'agi que des poufsouffle, Charlotte aurait pensé à un sursaut de prudence de la part du professeur ... pour éviter un énième accident ... mais là ...
En grognant, elle dut faire comme tout le monde et rendre sa baguette au professeur qui entra dans le vif du sujet sur la potion ... enfin avant il partit dans un discours pour 1ère année sur les chaudrons ... Puis il finit par discourir sur les ingrédients nécessaires pour le philtre d'amour e de nouveau Charlotte ouvrit grand les yeux ... Il avait caché les pétales de rose de lys Minuit dehors ? Génial, il ne manquait plus qu'une chasse au trésor ... et en plus sans baguette.
Les autres élèves partirent en quête de leur pétale. Charlotte elle n'avait pas bougé, se demandant si elle ne rêvait face à ce cours un peu étrange ... Le professeur tournait le dos à la Serpentard à présent pour mieux observer ce qui se passait autour du lac, sans doute. Charlotte allait se mettre finalement en quête de la rose de Lys minuit quand un éclat rosé attira son attention, là sous le col du professeur, juste sous sa nuque. Bon au moins ne finirait-elle pas à l'eau comme l'autre débile de Poufsouffle. Elle héla le professeur.

- Professeur !

Puis elle s'avança vers lui. Elle sourit.

- Vous permettez ? Je n'ai guère envie de me mouiller ... Et je crois que vous avez un pétale dans votre col ...

D'un geste rapide, elle attrapa l'éclat rosé qui avait attiré son regard. Elle l'observa un instant : c'était bien un pétale de rose de lys minuit.

Satisfaite, elle s'en retourna à son chaudron et se mit à préparer avec soin son philtre d'amour.
D'abord elle enfila les gants et s'occupa des graines de puffapod ; ce n'était guère aisé mais les graines furent séparer des cosses. Elle s'occupa d'ajouter scrupuleusement les gouttes de belladone. C'était étrange de penser que la belladone pouvait servir à la fois à des philtres d'amour mais aussi à confecter des poisons violents ...
A présent, il ne restait plus qu'à ajouter le pétale. Mélanger pour le dissoudre fut assez long et avec la chaleur du chaudron, Charlotte suait à grosses gouttes. peu à peu le pétale disparaîssait, se diluant dans le philtre et finalement, la sorcière fut contente de constater qu'une spirale de vapeur s'échappait du chaudron. Une douce odeur s'en échappa. Une odeur pleine de souvenir pour Charlotte : un mélange de chocoramel qu'elle buvait lorsqu'elle était petite sur les genoux de son père et puis il y avait aussi une odeur senteur qui s'en détachait : celle du parfum de la peau de Rabastan.
Il sembla à Charlotte qu'elle en avait terminé avec sa potion, il ne manquait plus que l'approbation du prof ...