Avoir a tête dans es étoiles n'est pas forcement une metaphore - libre

Tic, tac, tic, tac ...
La lourde balance se balançait lentement dans le dortoir des sixième année de gryffondor... Tellement lentement que Éloïse mourait d'envie de lui dire d'aller plus vite ; ce qui en soit était ridicule mais lui ferait un si grand bien, en tout cas pour ses nerfs. Aussi quand sonnèrent les douze coups de minuit la jeune fille se leva et enfila son long manteau noir ainsi qu'un paire de chaussures puis se glissa hors du dortoir. Il était rare que la rouge et or face des virées nocturnes mais cette fois-ci elle avait besoin de came, d'air. Pas que ce soit trop bruyant ces temps-ci mais la joie ne semblait pas au beau fixe dans le dortoir. Aussi telle une ombre quelque peu maladroite la jeune demoiselle fila à travers es couloirs de l'école en quête d'un je-ne-sais-quoi qui la ferait sourire. En regardant la fenêtre un idée lui vint. Elle quitta l'enceinte du château pour rejoindre le parc verdoyant et chatoyant ... euh non en faite pas si verdoyant que ça vu qu'il faisait nuit ... Enfin bref la n'est pas a question. Avisant un arbre la jeune fille pensa un instant grimper dessus mais se ravisa en pensant à son incapacité ou plutôt sa capacité exceptionnelle à être maladroite et à se faire mal ... Mouai pas forcement a meilleure idée quand on est seule dans un parc. Aussi se coucha t-elle dans l'herbe observant entre es branches de l'arbre le ciel découvert et étoilée. Eloïse aimait beaucoup les étoiles depuis que sa mère lui avait fait regarder dans un télescope, elle se souvenait joyeusement du nombre de fois où elle avait déranger son frère, son père ou toute personne susceptible de lui amener le dit télescope. Cette pensée la fit sourire, dieu que ses moments avec sa famille lui manquait. parfois grandir n'avait pas que du bon, c'est vraie quoi, on peut faire plus de bêtises certes mais celles-ci relevait une importance tellement plus grande que cela en devenant dérangeant ... La jeune gryffondor avait la tête dans les étoiles aussi métaphorique que cette phrase puisse l'être.