Hazel Cartlyn.

Fille aînée des Rosier et sœur d'un gosse horripilant de six ans et demi, comme elle le dit si bien? Hazel est une Sang-Pur née en Angleterre, à Welling, petite ville des environ de Londres où elle a vécu toute son enfance en compagnie de ses parents et de leur personnel et de leur elfe de maison. Le personnel était composé d'un homme, assez vieux, robuste qui parlait latin et qui devait enseigner tout son savoir à Hazel et d'une femme, fine, les cheveux blonds et la voix douce qui s'occupait d'elle lors de l'absence de ses parents. Hazel n'était pas méchante par nature c'est pourquoi, et malgré les efforts de ses parents pour que cela ne se produise pas, elle eut de l'affection pour celle qui s'occupait d'elle. La mère d'Hazel ne travaillait pas mais elle se débrouillait toujours pour être partout sauf chez elle. Elle allait de chez ses amis à ses amis en passant par la vieille maison de campagne de ses parents qui se trouvait en plein milieu de l'Irlande. Son père, quant à lui, travaillait à un poste assez élevé au sein du ministère et il rentrait chaque soir dîner avec sa famille. Hazel aimait bien son père, elle lui accordait plus d'affection qu'à sa mère parce qu'elle le voyait plus souvent et que ses yeux se muaient d'admiration lorsqu'il lui contait sa journée dans tous ses détails. Avide de savoir, elle aimait aussi leur longues ballade en Irlande, dans la fameuse maison de ses grands-parents, où il lui apprenait le nom des herbes, des plantes et autres. Hazel était fascinée. Mais toutes les bonnes choses ont une fin, lorsqu'Hazel atteint l'âge de huit ans ils déménagèrent dans un quartier chic de Londres même.

La famille Cartlyn n'avait jamais manqué d'argent et ce ne fut pas la cause de leur déménagement (ça aurait plutôt été le contraire); mais, à l'aube de 25 mai la mère d'Hazel accoucha d'un deuxième enfant. Tout le famille se donna rendez-vous chez les Cartlyn et félicita Collen, la mère du nouveau-né sous le regard très suspicieux de la jeune Hazel qui se demandait ce qui il y avait de si extraordinaire. En fait, l'excitation n'aurait pas été aussi forte si Collen avait donné naissance à une deuxième fille et non à un fils comme c'était le cas. Hazel savait, parce que le monsieur qui parlait latin comme elle aimait l'appeler le lui avait répéter une bonne dizaine de fois, que les garçons c'était mieux. Sur ce point elle n'était pas, mais alors pas du tout, d'accord avec lui alors qu'habituellement elle respectait ce qu'il disait. Pour elle une fille était aussi précieuse (même plus en fonction des cas) qu'un fils, la seule chose qu'elle ne faisait pas après tout c'était transmettre le nom. Le truc c'était que c'était aussi la chose la plus importante. Elle essaya, dès que la cohue familiale rentra chez elle, d'en parler avec sa mère qui lui rigola carrément au nez. Cela n'enleva tout de même pas les idées de la jeune fille qui voyait déjà une sorte de compétition entre son frère et elle. Une compétition qu'elle allait tâcher de gagner. De toute façon, elle gagnait toujours tout. Comme toute sa famille d'ailleurs. La notion de famille était très importante pour Hazel. Élevée dans l'optique que les Sang-Pur étaient les seuls sorciers dignes d'intérêts et fréquentable -ce à quoi elle croyait dur comme fer- elle pensait que son frère allait faire tâche dans la famille. Pour quelle raison? Elle n'en savait rien mais elle savait qu'elle trouverait. Encore une fois, elle trouvait toujours tout. Quand elle ne passait ses journées plongées dans des bouquins à apprendre de nouvelles choses elle cherchait sans se laisser un instant de répit l'objet que sa tante aurait pu oublier ou alors elle réfléchissait à une nouvelle technique pour faire taire son petit frère qui passait la journée à pleurer parce qu'il avait faim. Si elle, ne faisait que dire un mot comme quoi le repas était servi tard le soir elle savait qu'elle recevrait une baffe dont elle se souviendrait toute sa vie comme le voulait l'éducation stricte des Cartlyn.

Mais les années passèrent, son frère cessa de pleurer et il fut petit à petit considéré comme le roi de la maison. Si Hazel avait été une enfant gâtée ce n'était rien à côté de son frère. Alors, elle se mit à bouder, pendant deux ans, elle parlait rarement et jamais pour dire quelque chose de gentil à l'égard de ses parents. Elle ne se plaignait pas non plus, à vrai dire elle ne faisait pas grand chose à part lire et réfléchir; Il faut dire qu'elle était particulièrement douée pour ça. Puis, à onze ans, alors qu'elle recommençait à avoir des conversations normales avec ses parents la lettre tant attendu par la famille arriva. La lettre de Poudlard. Habituée, avec deux ans d'intense bouderie, à ne pas montrer ses émotions Hazel se contenta d'un «C'est pas trop tôt» en ouvrant la lettre. Contraste étonnant avec ses parents qui sautaient de joie à côté. A croire qu'ils avaient eu peur qu'elle ne l'ai jamais. Elle entra donc à Poudlard, comme le souhaitaient ardemment ses parents. Elle trouva l'endroit «sympa» sans jamais donner trop d détails sur sa vie là bas. Tout ce que c'est parents savent c'est qu'elle ait bien entourée, qu'elle a des notes qui frisent d'excellence et qu'elle s'amuse tout le temps. Elle leur envoie des lettres de temps en temps, pour leur répondre la plupart du temps mais elle déteste s'étaler. Il faut dire qu'à Poudlard elle a beaucoup de choses plus intéressantes à faire qu'écrire à ses parents.

Cheveux bruns très foncés, yeux bleus, doigts fins : Hazel. Il n'y en pas d'eux comme elle. Elle mesure un mètre soixante-dix pile, elle a de magnifiques yeux bleus clairs, couleur océan disent certaines mais elle les trouve plutôt bleu comme le ciel, la question est en débat. Ses cheveux par contre, eux, ils sont bruns très foncés, ondulé ce qui lui donne un air de princesse qu'elle adore. Il faut dire que Hazel n'est de loin pas laide. Elle est même plutôt belle. Pas belle comme les filles qui vont baver tous les garçons avec un simple sourire mais belle simplement. Elle n'a pas besoin d'une tonne d'artifice pour qu'on la remarque. Elle en met, certes, mais très peu elle est plutôt belle naturellement avec ses habits jetés à la va vite sur son épaule qui lui donnent tout de même l'air d'une fille classe. La classe elle la cultive, elle a de longues jambes de longs bras et un visage qui sont fins. Lorsqu'elle entrouvre les lèvres pour parler elle le fait doucement, presque gracieusement. Quand elle marche on n'entend pas le bruit horripilant de ses talons sur la carrelage, juste, certaine fois, le léger bruissement de ses robes ou ses pas qui se posent légèrement sur le sol. Hazel dans toute sa grandeur.

Hazel n'est pas une petite fille sage, coincée qui ne vit qu'avec les livres comme on pourrait le croire. Certes, elle aime lire et elle passe la plupart de son temps libre à la bibliothèque mais, comme elle le dit elle-même, elle ne passe pas non plus sa vie là bas. Intelligente comme personne d'autre, de toute façon, elle n'aurait presque pas besoin de travaillé, mais c'est une élève acharnée qui vise la perfection. Pour elle, pas question de s'arrêter en si bon chemin. Ce qu'elle a elle veut la mériter, pas question de tricher à un devoir pour avoir une bonne note, c'est trop bas, trop mesquin pour elle. Elle veut être fière de ses résultats et elle a de quoi. D'ailleurs elle le sait et elle ne s'en cache pas. La modestie ce n'est franchement pas sa tasse de thé et elle ne voit pas pourquoi elle devrait dire qu'elle une élève médiocre alors qu'elle est tout simplement une excellente élève. Après tout, si les autres sont vexés c'est qu'ils sont simplement jaloux. Pas de quoi se casser la tête dirait Hazel. Elle ne fait partie des fanatismes du genre «tout est au mieux dans le meilleur des mondes». Elle considère que non, tout n'est pas bien puisqu'il y a encore pleins de gens qui se proclament sorciers alors qu'ils ont un sang impur. Un crime pour la jeune Cartlyn. Mais enfin, ce n'était pas son genre de ce mettre debout sur les tables et de crier à la révolution, pas du tout. Elle contrôlait tous ses gestes, ses moindres petites mimiques étaient sous contrôle. Il lui arrive, à l'occasion, de rire après une bonne blague, d'un rire non contrôlé mais ça reste rare. Cela lui permet d'ailleurs ne pas avoir de grosses crises de colère sans réelles raisons qui auraient pu faire d'elle la cible de moquerie. Elle tient à être parfaite, sous tous -ou presque- les angles. Hazel n'est d'ailleurs pas une fille égoïste qui n'a que le mot «moi» à la bouche. Elle n'est pas non plus altruiste mais il lui arrive, pas trop rarement de trouver un intérêt aussi soudain que bref à aider les autres. Rassurez-vous, ça ne dur pas. Elle pense quand même plus de cinquante pour cent du temps à sa petite personne et à ce que cela touche de près ou de loin. Comme par exemple, quelque chose de typique chez Hazel, le retard. On lui donne rendez-vous quelque part on peut être sûr qu'elle aura du retard, elle aura toujours du retard. Lors de sa première année il lui a fallu plusieurs mois pour arriver à être à l'heure et il lui arrive encore de devoir sauter le petit déjeuner de crainte d'arriver après a cloche. Il ne faut pas se fier aux apparences, Hazel peut être très sympa, un grand sourire aux lèvres comme méchante, cassante froide et hautaine. Tout dépend de qui vous êtes, où elle est, ce qu'elle fait et parallèlement de son humeur.

Prénom/Surnom : Claire.
Âge : 15 ans.
Où avez-vous connu le forum ? : Un forum de pub.
Votre personnage est un PV ? Non.
Un double-compte ? Non.
Maison souhaitée ? : Duuur, Serdaigle ou Serpentard peut-être.
Taux de présence sur 7 : 3-4/7
Personnalité sur l'avatar : Emily Blunt.
Deux codes du règlement : Voldemort Power.
Autre chose à ajouter ? : Non, merci.