Oh Regarde...Des escaliers...Etonnant non ? [ pv Lily Evans ]

Arthur venait de sortir de sa salle commune pour se rendre à la bibliothèque. Il voulait faire une recherche sur un certain Isodore Thompson qui aurait inventer un sort permettant de changer la couleur de la peau à la manière d'un caméléon. Se disant que cela pouvait s'avérer fort utile pour son devoir de défense contre les forces du mal sur " les sortilèges de protections ou de camouflages dans le monde magique actuel ". Il voulait donc feuilleter des ouvrages pour trouver ce qu'il cherchait. Pas qu'il avait envie de travailler, oh non, mais il ne voulait pas passer pour un ignorant ou un inculte alors il devait le faire.

Arthur montait donc les marches quand l'escalier bougea et fit des siennes. Décidement il haïssait aussi ces maudits escaliers pourris qui marchaient pas et qui se prenaient pour le centre de l'univers genre " et regardez moi je fais l'intéressant et toi mon hibou tu vas glandouiller sur mes marches pendant que je fais mon intéressant. Regarde comme je sui beau et intéressant ". Oui, il y'avait un vrai petit monde dans la tête de Arthur, il arrivait à converser avec lui même et avoir une conversation somme toute intéressante et culturelement élevé évidement.

Il attendit donc que l'escalier se stablise contre un mur sans porte. Bah bravo, il allait se retrouver coincé là comme un crétin. Heureusement qu'il n'avait pas de cours. Il commença à pouffer violement de mécontentement et à se jetter avec violence sur une marche. Il commença à siffloter un truc un peu niais mais qui avait le malheur de vous restez dans la tête durant des jours. Soudain il s'apperçut qu'il n'était pas seul, une autre personne se trouvait avec lui dans l'escalier.

Miss Evans ne se rendait pas à la bibliothèque mais elle en venait justement ce soir. Elle avait déjà un peu travailler là bas et puis agacée, elle avait décidée de remonter dans la salle commune Elle n'avait pas trop la tête au travail. Pourtant, elle était plutôt du genre à y passer à peu près deux heures chaque soir et travailler parfaitement concentrée. Mais là non, elle était fatiguée, de mauvaise humeur, non aucune envie. Il fallait plutôt avoué, les choses n’allaient pas au mieux. Depuis mardi matin, c’était plutôt froid entre Morgane et elle. Du coup, Lily n’avait trop la tête à ca. Elle ne cessait d’y repensait tout en entendant James arriver le matin en hurlant un grand « ma sirène » pour ensuite serrer morgane dans ses bras. Enfin bon, elle n’avait pas réussis à ce concentrer et elle avait décidée d’abandonner.

Mais malheureusement, les escaliers ne semblèrent pas d’accord car ils commencèrent à jouer et à faire n’importe quoi. Lily était en bas des escaliers et elle s’accrocha attendant qu’ils finissent de bouger. Vraiment, pourquoi le professeur Dumbledore ne faisait pas quelque chose pour éviter qu’ils en face qu’a leur tête. En plus, il ne fallait pas oublier de mentionner certaines marches pourries qu’ils fallaient éviter. Ces escaliers étaient des vraies casses-têtes. Les escaliers se stabilisèrent contre un mur sans porte. Lily lâcha un soupire.

Elle avait aperçus un peu plus haut Arthur DeLune le frère de Morgane. Elle n’était pas en très bonne relation avec lui. Et il y avait de quoi puisqu’elle était déjà l’amie de sa sœur. Lily le détestait donc pour ce qu’il faisait à Morgane et lui pour être une amie à sa sœur. Mais en plus, elle était gryffondor et née-moldue, tous ce qu’Arthur avait décidé de rejeter. Lily preferait ne rien dire, elle ne voulait pas lancer les hostilités. Elle s’assit alors s’appuyant le dos sur les rambardes pour attendre. Elle resta ainsi en silence assise sur le long des marches. Combien de temps allait-elle être coincé là avec la charmante compagnie d’Arthur ? Le moins longtemps espérait elle !

Arthur sifflotait encore quand il avait remarqué la présence de quelqu'un pet pas n'importe quelqu'un s'il vous plaît, la préfète des gryffondors, la sang de bourbe de Evans. Décidement aujourd'hui semblait vraiment pourris à tout point de vue. Ici avec Evans c'était peut-être presque pire que coincé avec Rusard pendant une heure de colle. Non en fait c'était même peut-être pire. En tant normal Arhtur aurait chercher la préfète mais aujourd'hui il était tellement énervé qu'il voulait...Sé défouler sur elle un moment. Après tout peut-être que le destin avait voulu les faire resté coincer ici un moment pour...Discuter, enfin façon de parler. Rho et puis le pire, si pire qu'être sang de bourge il y avait, était qu'elle était amie avec sa soeur, sa stupide et naïve soeur.

Il la vit s'appuyer contre la rembarde alors il la regarda, après tout il était plus haut qu'elle et la voyait donc très bien et il n'avait rien d'autre à regarder ( malheureusement ). Comment pourrait-il aborder la griffondor en restant un méchant petit serpentard comme il en avait l'habitude. Humm..Il n'allait décement pas la jeter en bas alors....Il eut enfin une idée...Bon elle valait ce qu'elle valait mais au moins il pourrait commencer à " discutailler ". Arthur resta donc appuyer sur sa rambarde puis se leva et partit s'assoir dans la même position un peu plus bas. PUis il recommença son manège une autre fois, gardant huit marches d'écart environ avec sa vosine du bas. Puis l'air de rien il lança

- Tu pourrais au moins dire " bonsoir " Evans...

Voilà il avait amorcé la rencontre. Bon certes, il aurait pu dire bonsoir le premier mais c'était pas son genre avec ces gens là.

Bien sagement, notre préfète des gryffondors c’était assise sur les marches de l’escaliers. Elle attendait un peu vori si les escaliers se décidaient ou non à bouger. Si jamais ça durer, elle avait bien sur un livre à lire avec elle. De toute façon, elle avait tout son temps. Elle n’était pas pressée. Bon ok, la compagnie n’était pas géniale, mais s’il faisait comme elle et qu’il restait dans son coin, tout irait bien. Mais non, ça aurait été trop beau pour être vrai. Il attaqua et commença de lui parler. Lily tourna son regard émeraude sur lui. Elle pourrait dire bonsoir ? Et lui, au lieu de lui dire cela, il pourrait dire bonsoir. Ah non qu’elle était bête, il n’allait pas se rabaisser à dire bonsoir à une née-moldue, un sang impur. Qu’est ce qu’i pouvait être bête quand même ! Il méprisait des catégories de gens mais il faisait lui même partie d’une de ces catégories. Lily trouvait cela ridicule enfin bon. Elle le regarda et alors, sur un ton neutre, légèrement moqueur malgré que ce ne soit invoulus, elle répondit

Bonsoir à toi aussi

Oui, il ne lui avait pas dit bonsoir, elle le savait. Et alors ? Il lui avait fait la remarque qu’elle pourrait dire bonsoir. C’est ce qu’elle faisait, elle avait jute ajouter deux mots comme si lui même il lui avait dit bonsoir et que donc, il s’était abaissé à le faire en premier. Comme si c’était une façon de parler aux gens. Non mais franchement, il avait cas dire bonsoir plutôt de dire ça. Si elle ne lui avait pas dit, c’est parce qu’elle ne voulait pas lui parler. Elle se passerait bien de l’entendre. Ce n’était pas possible de rester silencieux et attendre patiemment. Il avait envie de se défouler. Et ben il sera servis car Lily n’était pas de bonne humeur avec cette histoire qui l’agaçait avec son amie. Alors du coup, il risquait bien de s’en mordre les doigts de provoquer la préfète des gryffondors. Regulus une fois était partit d'ailleurs sous ses dires car elle avait, il lui semble, visé juste même si c'était plutot involontaire. Mais lui, elle n'avait pas du tout peur d'être désagréable. Il était si désagréable avec Morgane, c'est tout ce qu'il merritait. Elle n'oubliait pas le nombre de fois où elle pleurait à cause de lui ou alors quand elle se renfermé par sa fautes sur des mauvaises idée. Comme au début de l'année dans le train où ça avait été les pires retrouvailles...

Lily ne pouvait rester sérieux face à lui. Elle ne savait pourquoi mais même s’il l’énervait il la faisait rire. Peut être par sa façon débile et totalement contradictoire de penser. Ou alors par le genre qu’il cherchait à se donner. Elle n’en savait rien mais il la faisait rire. C’était comme ça, ça ne s’explique pas. Il était si contradictoire quand même. Il parlait et débiter des paroles et parfois, elle se demandait s’il savait ce qu’il dit. Llily le quitta du regard et regarda à nouveau face à elle restant assise. Elle ramena un peu ses genoux vers elle et posa ses mains croisées dessus.

Arthur était toujours assis à quelques marches de la préfète des bouffondors. Décidement cette fille aurait eu tout pour plaire si elel n'était pas une sang de bourbe et l'amie de son imbécile de soeur. Evans avait eu tout faux dès le départ, pauvre fille...Il se doutait qu'elle ne lui répondrait pas et préfererait l'ignorer en continuant à regarder en face sans se soucier de celui qui se tenait quelques mètres plus haut. Elle se la jouait genre " je ne te vois pas lalalala je ne t'endends pas...." Pfff il la croyait plus fière que cela. Puis toujours dans ses pensées peu recomandables sur la préfète il l'entendit lui répondre. Il eu un peu de mal à cogiter au début. Ila vait bien entendu, elle avait dit " bonsoir à toi aussi ". Mais il ne le lui avait jamais dit lui, elle délirait la rouquine ! Son rôle de préfète et son sang infâme l'avait endu folle par Merlin. Une cata cette fille, elle se la jouait grande gentille mais il n'y avait pas plus fausse qu'elle tient. La gentille préfète " mon oeil " oui ! Du vent, que de l'air et des paroles en l'air.

Arthur était persuadé qu'elle n'aurait rien dit ou alors juste " bonjour " pas cette tentative de " c'est toi qui me l'a dit en premier ". Ahhh Elle voulait vraiment le mettre en rogne, elle voulait quoi qu'il la balance en bas ou quoi ! Il avait pleisn d'idées de vengeance et de méchancetés qui lui traversait l'esprit à intervalle régulier, des trucs pas jolis jolis et pas très sympathique non plus m'enfin, elle ne méritait que ça. Elle n'aurait même pas dû être préfète. Lui l'était et il en était digne mais pas elle. Ses bonnes notes, rien à faire, son sang immonde aurait dû suffir à la priver de ce poste. Elle était là sur les marches, s'encerclant les genoux de ses bras comme les gamines terrorisées dans le noir. Pathéthique cette fille, elle était bien comme sa soeur. En fait, qu'elle soit ami ne l'étonnait plus tant que ça, elles se valaient dans la médiocrité et le ridicule. Encore heureux qu'il ne tuait pas ! Alors qu'allait-il bien lui répondre...Il avait bien envie de l'insulter mais ce n'était somme toute pas très gentleman et diplomate. Il avait même un sens de l'éthique, soit méchant à travers tes mots lancés comme des piques qui fusent sans être vulgaires, voilà la clé de la réussite d'une joutte verbale. Il se lança

- Bonsoir à toi aussi ? Humm...Curieux, il ne me semblait pas te l'avoir dit Evans, tu fabules. Tu as tant besoin de m'entendre te faire des politesses ?

Il la regardait d'en haut même si elle ne le regardait pas, il avait toujours son petit rictus au coin des lèvres.

Allez, les escaliers allaient être gentil et ne pas trop traîné face à ce mur. Pourquoi devait ils décider d’empeser le monde maintenant ? Ils ne pouvaient pas le faire quand elle était en compagnie de quelqu’un d’autre ? Non, ça devait tombé face à cet horrible serpentard qui était le frère de sa meilleure amie d’ailleurs. Pfff… Vraiment pas de chances ! Lily était toujours assise tranquillement sur sa marche, les genoux ramené contre elle, les mains croisées dessus. Elle ne répondit rien de plus. Voilà, elle lui avait dit bonsoir, deux mots de plus bien sur pour montrer qu’elle ne se pliait pas devant lui. Mais bon, ils pouvaient resté silencieux, ca ne la dérangerait pas, pas du tout X’ailleurs, il ne sembla pas répondre tout de suite. Soit tant mieux. Lily continua de fixer face à elle les tableaux accrochés sur les murs. Dire que ça les amusé de voir des élèves coincés là. Elle, pas du tout.

Arthur sembla enfin répondre ou du moins, il répétait ses paroles. C’est bien, il était un bon petit perroquet. D’ailleurs, c’est ce qu’il était, il répétait les paroles de son grand-père bêtement. A se demander s’il en comprenait le sens, s’il comprenait que par toute logique, il devait se hait lui même ! Enfin bn, elle s’en foutait bien et elle le laissait dire. Il était pas très intelligent. Mais ce qui l’énervait le plus c’est qui ne cessait de rabaisser Morgane et lui mettre pleins de doutes dans la tête. Et ça, elle en avait. Elle fabulais ? Non pas du tout. Elle savait très bien qu’il ne lui avait pas dit. Mais elle ne s’attendait pas à ce qu’il lui dise. C’est pour cela qu’elle prenait ses paroles comme un bonjour. Il fallait pas trop rever, il ne les connaissait pas. Besoin de l’entendre faire des politesse. Il déraillait ! Elle en avait rien à faire de sa politesse, elle n’en attendait pas moins de lui d’ailleurs dans ses paroles ! Elle dit alors tout simplement

Oh je sais très bien que tu ne connais pas la politesse. Tu as malheureusement oublié toute la bonne éducation de tes parents…

Lily lâcha un soupire. Elle n’avait pas vraiment envie de se battre contre lui. Elle avait d’autres soucis en tête pour le moment. Arthur, elle s’en foutait bien. Pourquoi ne passait il pas son chemin ? Ah oui, ils étaient bloqué… Alors pourquoi n’attendait il pas silencieusement ? Ca ne lui ferra pas de mal…

Arthur fredonnait toujours son petit air en observant la préfète. Ce qu'il pouvait parraitre simple de l'enerver mais juste parraitre alors. Elle ne semblait pas très receptive aux menaces aujourd'hui et elle ne semblait pas vouloir jouer ce qui fit bougonner Arthur. Décidement, les gryffondors étaient vraiment des êtres idiots et avec aucun sens de l'humour. Pauvre d'eux, ce qu'ils pouvaient faire pitié alors ! Il attendait qu'elle parle ce qu'elle fit mais cela ne lui fit pas plaisir, la réponse était vraiment digne de cette sale sang de bourbe, rien de plus, rien de moins. La bonne éducation de ses parents ? Mais elle hallucinait la pauvre fille. Ses parents étaient des crétins qui ne connaissaient rein à l'éducation, elle se permettait de parler de ce qui ne la regardait pas.

Arthur se leva d'un air méchant et alla se mettre sur la marche juste avant celle de la préfète et la regarda en lui crachant à la figure

- Tu te prends pour qui pour me dire cela. Est-ce que je parle de tes moldus de parents moi ? Non, alors ne parle pas des immondes abrutis qui me servaient de géniteurs.

Sur ce il resta là à la regarder de son air dégoûté et violent mais il ne fit rien dans le sens où il ne bougea pas ou ne l'insulta pas.

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