Fallait-il vraiment que je vienne ?[pv Albus Dumbledore]

Arthur venait juste de remonter du parc. incroyable ! Leonidas était venu lui en faire baver avant et au moment où il avait cédé à la vengeance il allait payer. Injustice ? Non, il avait tapé Kinney et il ne le regrettait absolument pas, il aurait même bien recommencer tien ! Kinney cherchait, il trouvait. S'en prendre à lui soit mais à sa soeur, cela méritait sanction.
Il arriva donc devant le bureau du directeur. Il se demandait quel section le directeur allait lui infliger. Il méritait une punition mais il espérait qu'on lui laisserait le temps de s'expliquer. Il ne niait pas ses actes mais il n'avait pas passé outre son rôle de préfet sans raison.
Arthur poussa un long soupir en entendant le directeur arriver. Il se passait mille et un scénarios dans la tête, persuadé qu'il ne pouvait pas imaginer exactement ce qu'il allait devoir subir. Mais il n'espérait qu'une chose, que Kinney payait aussi et autant que lui payerait.

La porte du bureau d'Albus s'ouvrit dans un grand fracas, un fracas qui allait de paire avec l'humeur de son propriétaire. Il en avait assez de toutes ses histories de guerre, de bagarre. Comme si il n'avait pas assez à se battre contre ce dogme. Il posa un regard noir sur son préfet ...

"Vous êtes demi de vos fonction. Je ne peux pas tolérait qu'un de mes préfets se battent avec un de ses camarades de classes plus jeune que lui en plus."

Il tendit alors simplement la main, attendant qu'Arthur lui remette son insigne. Il ne voulait pas d'explication. Il en avait assez eu concernant cette maison. "Pour la première fois de ma vie, je vais nommer un préfet pour la troisième fois au cours d'une année. Content de ce petit exploit monsieur DeLune ?"

Arthur en avait marre d'être là. Franchement il n'avait pas commis un meurtre, il avait juste frapper un crétin, ça devrait être autorisé ça ! Il n'était pas responsable de tout dans cette affaire et de perdre son rôle de préfet pour un c** comme Kinney, c'était prouvé que dans cette école, il n'y avait pas de justice. Etre un sang mélé chez les serpents c'était se donner en pâture à l'adversaire. Mais quand le directeur lui demanda

"Pour la première fois de ma vie, je vais nommer un préfet pour la troisième fois au cours d'une année. Content de ce petit exploit monsieur DeLune ?"

Il prit un air neutre avant de se tourner vers le directeur et de répondre

- Je ne suis pas spécialement fier de ce que j'ai fais. Mais s'il fallait le refaire pour les mêmes raisons, je le referais autant de fois que nécessaire. Ce que j'ai fais était mal mais justifié.

Sur ce il se tut, près à se faire réprimander d'avoir répondu si besoin était.

Arhtur en avait marre de se trouver là, commençait à le gonfler le Dumby et pas qu'un peu. Bon 'accord il avait frappé Kinney mais s'il regardait mieux il verrait que son élève était psychologiquement détruit mais ça, ça lui passait au dessus. Le bien des élèves mon oeil !!!
Il ne s'intéressait qu'aux apparences, en fait, il était proche de toutes les maisons. Gentil comme les gryffondor, loyal et naïf comme les poufsouffles, intelligent comme les serdaigles et froid en dedans comme les serpentards, oui, il était fait pour le poste de directeur tout compte fait ! Il n'arrivait plus à le supporte,t le respect qu'il avait pour lui commençait à s'effriter comme les murs de la cabane de cet idiot d'Hagrid !
Quand le directeur eut finit son spitch, Arthur dut enlever son insigne et le remettre au directeur

- Voilà, je vous rend mon insigne. Est-ce que je peux partir maintenant ?

Arthur avait envie d'aller à la tour, il avait besoin de respirer seul sinon il risquait de commettre encore une attaque physique sur sa personne, comme propulsé de nouveau son poing contre un mur voir dans la figure d'un autre élève...

Albus prit l'insigne des mains d'Arthur, ouvrit un tiroir et la rangea dedans. Une prochaine nomination très bientôt. Il prit autre chose dans le tiroir, un parchemin, ou plutôt la gazette de l'école. Ce qu'il y avait lu ne lui avait pas plus du tout !

"Non Monsieur DeLune, je suis le seul a mettre un terme au entretiens, alors changeait de ton. Merci !"

Albus s'assit sur son fauteuil posant les yeux sur la gazette, soupirant et reprenant d'un ton plus doux. Arthur n'était qu'une victime dans tout ca, une victime face a une terrible rumeur. "Je présume que ça a un rapport. L'utilisation de la sorte de votre nom n'est pas tolérable. Je le conçoit."

Albus pouvait très bien se mettre a la place d'Arthur, lui même ne l'avait jamais avoué a personne. "Mais de la a se faire justice soi même non ! Vous voulez vous expliquer ?"

Pas forcément sur les rumeurs, mais le rapport avec Leonidas, il ne le voyait pas trop.

Arthur en avait marre de trainer là, il voulait quoi, lui mettre une fessée peut-être ? Non mais on aura tout vu ! Il attendait quand il vit le directeur sortir le journal. Ah non, pas lui aussi, il voulait quoi, se moquer de lui, lui dire que c'était répugnant si c'était vrai. Lui donner du sérum de vérité même si interdit aussi pendant qu'on y est. Il écouta alors le directeur...Avait-il bien entendu ? " . L'utilisation de la sorte de votre nom n'est pas tolérable. Je le conçoit." Repeat please ? Il le défendait, un peu ? Sortez les baguettes, les sucettes et les crèpes suzettes, les miracles existent. Reprenant constance après ce choc, Arthur écouta la suite et pu donc ainsi avoir le droit de s'expliquer. Il commença

- Je ne suis pas du genre à raconter mes déboires aux professeurs aussi, ne vous attendez pas à moulte révélations de ma part. Cependant, Leonidas Kinney a cru bon de voir en ses rumeurs des faits fondés, injustement, et s'est cru faire défenseur de la justice en venant me donner personnelement de ses nouvelles. J'ai ensuite voulu en terminer avec lui d'une manière civilisée ce qu'il ne semblait pas connaître. Je suis navré mais je n'apprécie pas qu'un garçon de quinze ans vienne me dire ce que je dois faire et à qui parler. Et me parler de ma soeur de la manière qu'il a fait méritait amplement mon poing dans la figure ce qui fut même, monsieur, je vous l'assure, peu cher payé.

Sur ce il s'arrêta et attendit une réaction du directeur à sa tirade. Il avait parler d'une voix neutre avec une légère pointe d'ironie mais en aucun cas ce n'était de la moquerie ou un manque de respect envers le directeur.

En ce qui concernait ses rumeurs, Albus avait reçu la personne qui écrivait els article dans son bureau. Cette personne avait juré sur son âme que la rumeur était vraie concernant Regulus et Arthur. Albus l'avait donc cru. Qui irait damner son âme pour une rumeur. Donc albus avait décidé de ne pas fermer le journal, car comme cette personne lui avait si bien fait remarqué, les rumeurs sur les couples hétéro seraient tolérées mais les faits véridiques sur les couples homos non ?

Arthur nia naturellement le fondement de cet rumeur, mais Albus n'était pas la pour lui faire avouer si oui ou non c'était vrai. Ainsi Leo avait cru les rumeurs et était aller agresser, il en avait aussi insulté la soeur de monsieur DeLune ... Albus fronça les sourcils, se demandant a quel moment ils s'étaient réconcilié les jumeaux DeLune.

"Et donc vous pensez que se faire justice soit même règle les problèmes. Dans ce cas, vous me ferez un devoir sur trois rouleaux de parchemin sur l'intérêt d'une justice magique et d'une brigade des Aurors dans le monde de la magie. Avec en conclusion la situation d'un monde sans ses deux organismes."

Albus inspira et soupira doucement. "Monsieur Kinney n'aurait en aucun cas du réagir de la sorte. Mais si il y a menace sur élève, vous devez le dire à un professeur. Vous ne devez pas régler tout ça tout seul. Vous n'êtes pas le seul concerner, et si votre sœur cours un risque, vous devez me le dire pour la proteger"

Arthur n'avait rien de plus à dire au vieux directeur, il se contenta de sous-entendre des faits; n'hésitant pas à les vendre au moindres gestes douteux de ce crétin de Kinney. Un devoir ? Des parchemins ? Bien, bien...Il les ferait ses maudits rouleaux, et bien en plus, il ne devait plus attirer l'attention sauf en tant que serpentard, il fallait lancer le plan, tout mettre en oeuvre et en marche pour réussir son grand retour. Le pourrait-il ? Oui sauf si Morgane entrait dans le jeu, dans ce cas-là, il ne pourrait pas se retenir bien longtemps de la protéger.Il reprit alors ses esprits et revint à la conversation avec le directeur et répondit

- Bien monsieur, je ferais ce devoir. Quand à ma soeur, je n'ai rien à en dire pour le moment, c'est...Compliqué.

Puis il attendit sans rien dire, se demandant s'il pourrait bientôt partir d'ici, quand même soulagé des propos conciliants de son directeur.