Ah... on se souvient de moi Feat. Regulus B.

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Le cœur de Regulus explosa dans sa poitrine quand il senti les doigts de Leo entrelacer les sien, avec force. Il émanait due jeune homme une telle puissance, avec lui, il se sentait en sécurité, dans ses bras, il n'avait peur de rien, et il avait l'impression de pouvoir tout affronter. Il serra un peu plus les doigts de Leo, frissonnant a ce contact qui lui avait tant manqué. La peau douce, et si virile de Leo, il en rêvait de la caresser. Son cœur battait bien plus vite, encore plus quand Leo plongea dans l'abîme profonde de son regard comme pour en déchirait les mystère.

Et il sourit alors, tendrement à la proposition du jeune homme. Un kidnapping ? Il approcha un peu plus son visage de celui de son amour, sans cesser de sourire.

"Alors déjà, si tu en arrive là, je serais une victime des plus consentantes. Après si tu veux m'attacher à ton lit pour t'assurer que je ne me sauve pas, quelques fois, là encore, je ne dirais pas non."

Oui ! C'était une bien douce perspective. Partir loin ... tout quittait ! S'en aller ! Changer de pays, d'horizon. Etre avec celui qu'il aimait sans avoir à se cacher. "On a le temps d'y penser non ? Ca semble si loin !" murmura-t-il dans un souffle. Mais ses parents en mourraient, il le savait aussi.

Mais lui ? Ne mourrait-il pas de devoir se marier, avoir des enfants … toucher une femme qu’il n’aimait pas ? Car il ne pourrait pas tomber amoureux d’une autre personne que Leo. Cette vie … Ce que ses parents voulaient pour lui, ça lui donnait une profonde envie de vomir … Mais il n’avait pas le choix.

Leonidas sentit les doigts de son homme sur les siens et il sourit, un premier vrai sourire depuis qu’il était en face de Regulus. Le kidnapper… partir loin… en Amérique pourquoi pas ? Ils pourraient se trouver un petit nid bien douillet pour eux d’eux. Rien ne viendrait les troubler…

"Alors déjà, si tu en arrive là, je serais une victime des plus consentantes. Après si tu veux m'attacher à ton lit pour t'assurer que je ne me sauve pas, quelques fois, là encore, je ne dirais pas non."

Vraiment ? Regulus ne dirait pas non ? des mots qui rendirent son cœur si léger. Comme si tout ses soucis le quittaient tout à coup. Il pouvait avoir le jeune homme ? Vivre avec lui ?

"On a le temps d'y penser non ? Ca semble si loin !"

Loin ? Leonidas le regarda un moment et finit par acquiescer de la tête. A vrai dire… Il n’était pas si sûr… il avait peur d’être déçu s’il devrait mettre ce plan à exécution. D’avoir un refus du jeune homme. Mais peut être qu’il avait peur pour rien. Ils seraient ensemble pendant trois ans… même plus… peut être qu’à ce moment là Regulus aurait le courage de décider pour lui seul et d’accepter de venir avec lui.

Il lâcha la main de Regulus et jeta un coup d’œil à la porte, mais personne ne semblait être dans les couloirs à cette heure ci… il frôla la joue de son homme en souriant.

Je t’aime Reg…

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Etrangement, même si il savait que Leo plaisantait ... ou du moins ... était il sérieux ? Le jeune homme venait comme d'ouvrir une fenêtre de liberté sur son avenir. Un avenir ou il se devait d'obéir a ses parents, de respecter leurs décisions, leurs désirs pour lui ... un avenir ou Leo ne serait pas, sauf dans sa maison, avec femme et enfant ... une pensée qui le glaça mais qui le concernait aussi. Mais lui ... en revanche ... Il ne se voyait pas se marier. Mais cet avenir qui lui semblait si froid, si peu pour lui ... Leo venait juste de lui offrir la plus belle des échappatoires.

Et ce sourire qui était naît sur les lèvres de son amour. Il était si beau quand il souriait, quand il semblait heureux. Un sourire qui lui réchauffa le cœur. Il frissonna de plaisir quand la main de Leo lui effleura la joue, et a ces mots, il cru que son cœur allait s'arrêter. Oh il se doutait que ça n'effaçait en rien ses deux semaines de silence et les épisodes douloureux de leur passé, mais c'était un grand pas. Il sourit avec envie.

"Ca serait trop demander, la même déclaration, assorti d'un baiser en point final ?"

sa voix était tentatrice, sure d'elle. Il voulait goûter aux lèvres de Leo, savourer leur parfum, s’enivrait de leurs caresses. Ce n'était pas à lui d'embrasser le jeune homme, mais a Leo de le faire. A Leo de l'autoriser à capturer de nouveau ses lèvres. Mais si c'était encore trop tôt ... si pour cela Regulus devait le séduire de nouveau, il ferait étape par étape.

Oui… malgré tout ça… il était toujours fou du jeune homme. C’était peut être un peu con… Vu qu’il savait quel avenir ils risqueraient d’avoir… un avenir séparé l’un de l’autre. Mais pouvait il vraiment le combattre ? Car là son cœur ne battait que pour le jeune homme… et il ne pouvait pas le changer. Et puis le voulait il vraiment ? Dire que tout ceci n’est dû qu’à un pari idiot de sa part… au final pas si idiot que ça ? ou si… car ça avait ouvert des portes bien dangereuses… mais une porte bien douce… et celle là il la trouvait toujours quand il se retrouvaient dans le même lit qu’avec le jeune homme, quand il l’avait dans ses bras.

"Ca serait trop demander, la même déclaration, assorti d'un baiser en point final ?"

Leonidas sourit un peu plus et feignit de réfléchir un moment…

Je ne sais pas si tu le mérite…

Hum… pourquoi Regulus ne le faisait pas lui ? Mais… il baissa son regard sur les lèvres du jeune homme. Sur le coup, sans plaisanter… il ne savait pas si c’était bien. Mais ils c’étaient déjà embrassé, il ne savait pas combien de fois… mais là, c’était… un tel poids sur ce passé… Il releva les yeux pour croiser le regard de son homme, puis regarda encore vite fait par la vitre de la porte et s’approcha lentement.

Je… t’aime…

Il scella alors ses lèvres avec ceux du jeune homme… un doux baiser… mais tout aussi rapide, le temps de sentir à la chaleur des lèvres de Regulus… et il se recula à nouveau.

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Ce qu'il ressentait, à ce moment là, les yeux rivé sur son homme, ou plutôt précisément les lèvres de son homme, c'était une sensation de bonheur comme il n'en avait plus ressenti depuis un petit moment. Même avant les vacances, quand cette histoire est sortie, ça n'allait plus trop avec Leo, parce qu'il s'éloignait de lui. Mais désormais, il ne comptait plus lâcher le jeune homme. Car si la communauté des sorciers penserait que cette relation était anormal, malsaine, pour lui, Leo était un havre de paix, de sécurité avec qui il pouvait oublier ses soucis, sa vie, ceux que ses parents attendaient de lui, avec qui il pouvait etre lui-même, sans risquait de choquer le jeune homme.

Il sourit, alors faisant une mine tristounette à la réplique de son amour. Si il le méritait ? Et pourtant il les voulait ses lèvres, les embrasser, les capturer, goûter leur saveur. Ca faisait si longtemps ... Si il le méritait, enfin pas forcément. Et son coeur s'accélérât de nouveau, comme celui d'un sprinteur qui venait de démarrer au quart de tour. Ses mots qu'il ne se laisserait jamais d'entendre, qu'il n'aurait jamais cru entendre un jour, ils le rendaient heureux aujourd'hui.

Et les lèvres de Leo se scellèrent sur les siennes, comme un sceau sacré que l'ont placé pour fermer une chambre secrète, un baiser trop éphémère à son goût, mais dont la saveur lui rendit enfin le sourire, lui rendit enfin le souffle de vie qui lui manquait. Il reposa son regard sur celui de Leo, la douce mélodie des battements de son coeur se percutant dans ses oreilles. Il n'avait pas lâché la main du jeune homme.

Et là, il l'attira d'un coup à lui, avec une assurance qu'il ne se connaissait que rarement, le capturant dans ses bras. La porte était verrouillée, personne ne les dérangerait. Il se noya dans le regard de son amour, un regard plein de sincérité, d'amour et de tendresse. Une voix pleine d'assurance "Moi aussi, Honey ! Et je t'interdit d'en douter." Et là, il l’embrassa, avec un désir comme il n'en avait pas ressenti depuis des semaines.

Leonidas tenta de se calmer un peu… ce n’était qu’un simple baiser après tout.. mais ça faisait tout de même deux semaines… deux longues semaines… Il inspira et regarda légèrement vers le côté, ayant voulu reculer, mais au contraire, il se sentit tout à coup tiré vers le jeune homme. Et il se retrouva là… dans ses bras, le regard dans celui de Regulus et il ne fit absolument rien pour s’en retirer. C’était si rare de voir une telle détermination, une telle assurance et virilité dans les yeux du jeune homme.

"Moi aussi, Honey ! Et je t'interdit d'en douter."

Il s’apprêtait à parler, mais fut arrêter par la plus douce des manières… un baiser, bien plus poussé que celui qu’il avait daigné donner. Il ferma les yeux se sentant plus libéré, chaviré dans cet amour qu’il avait eu peur de perdre… Il leva sa main de libre qu’il glissa sur le cou du jeune homme pour le tenir contre lui et approfondir le baiser.

Il avait eu tellement peur… il avait tenté de rester fort au cas où tout ça aurait été finit. Il s’aurait montré neutre, indifférent… mais au fond c’était tout autre chose. Et là à ce baiser c’était comme toute ces protections se briseraient l’un après l’autre.

Leonidas rouvrit les yeux et recula rapidement, détournant la tête en sentant des larmes lui couler sur les joues. Quelle honte ! Lui ? Pleurer ? il n’avait jamais pleurer devant Regulus. Ni devant qui que ce soit. Il tenta de se sécher les joues sans trop attirer l’attention sur lui… mais comment montrer qu’il avait autre chose que des pleurs… des pleurs… lui un gamin de 15 ans qui pleurait à cause de ses peurs et de cet amour surtout… de ce soulagement.

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Si Leo ne le repoussait pas, entre eux ça serait pour la vie ! Une pensée qui parcouru l'esprit de Regulus avec l'espoir qu'il ait raison. Il avait capturé ses lèvres dont il rêvait la nuit, qu'il imaginait à son réveil, il avait plongeait dans ce regard dans lequel il aimait se perdre, se noyer. Et Leo ne devait pas le repousser ! Non ! Il n'en avait pas le droit !

Et au lieu de cela, à l'opposé de ses craintes, il senti les lèvres de son homme répondre à ce baiser, et même plus, l'approfondir. Son coeur explosa se consumant littéralement. Une impression de brûler vif le saisi d'un coup en sentant la main de Leo sur son cou, et celui ci approfondir encore ce baiser. Un baiser qui le fit chavirer dans ce monde de plaisir qu'il aimait tant, qu'il n'avait réellement découvert qu'avec Leo.

C'était tout simplement divin, et ça l'aurait été encore plus, si Regulus ne se posait pas mille question : Leo lui avait il pardonné ? Où était juste une parenthèse dans leur problème ? Et avant qu'il ait eu le temps de répondre à cette question, Leo recula rapidement, Regulus cillant des yeux. Mais pourquoi ... il ... Il n'aimait plus ça ? Leo détourna aussitôt la tête, et Regulus en fit de même posa son regard sur la porte.

La il n'avait qu'une envie, se lever et quitter ce compartiment. Mais ... Il fronça les sourcils et tourna la tête vers le jeune homme, ou plutôt le reflet dans la vitre. Et ce qu'il fit lui serra le coeur ! D'une envie de fuite, il était passé en une seconde à l'envie de prendre le jeune homme dans ses bras et de le serrer contre lui. Son regard se fit plus peiné en voyant les larmes coulées sur les joues de Leo.

"Honey ..." murmura-t-il, le coeur lourd. Il pleurait à cause de lui, de ce qu'il lui avait fait endurer ... tout était de sa faute. Il s'approcha de Leo, se mettant sur le coté et posant sa main sur la cuisse du jeune homme dans un douce caresse. "Pourquoi tu ..."

Pourquoi il pleurait ? Mais ça faisait bizarre de demander ça. Il posa sa main sur la joue de son homme le faisant le regarder."Je suis désolé !"

Désolé de quoi ? De l'avoir abandonné pendant deux semaines. De 'lavoir ignorer, rayé de sa vie pendant se lapse de temps. d'avoir toujours tout compliqué, même si la situation l'était déjà au départ, désolé de ne pas pouvoir lui promettre un amour éternel ... Il se pencha alors vers le jeune homme, déposant un baiser sur une des larmes de Leo, la séchant du bout des lèvres !

Pfff… c’était totalement ridicule ! Pourquoi pleurait il là ? Il n’en avait aucune raison… bref à part qu’il se sentait… bien mieux. Il ne savait pas pourquoi il se sentait tellement fatigué, à bout de force. Mais il ne devait pas faiblir. Il n’en avait pas le droit. C’en était même pas digne d’un Kinney !

"Honey ..."

Leo passa encore vite sa main sur sa joue, ne voulant pas que le jeune homme le voit ainsi. Il n’en avait pas le droit. Il avait peut être déjà vu pleurer Regulus, mais le contraire n’était pas acceptable. Non !

"Pourquoi tu ..."

Pourquoi il quoi ? Il ne se passait rien ! Absolument rien ! Qu’il oublie ! Il tourna doucement la tête vers son homme pour croiser son regard.

Je suis désolé !"

De quoi ? Ce n’était pas de sa faute… Il le laissa s’approcher de lui et sentit les lèvres du jeune homme sur sa joue pour lui sécher une trace de larme. Il posa ses mains sur l’épaule de Regulus et le fit se reculer un peu.

Désolé de quoi ? Ce n’est rien ! Quelque chose me piquait les yeux c’est tout !

Et qu’il n’ose pas le contredire. Leonidas Kinney ne pleurait pas ! Il inspira et fit glisser ses mains sur les bras de Regulus et lui fit alors un fin sourire. Ce n’était rien… c’est bon il avait reprit contenance là. Il n’y avait plus aucun problème.

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Il pleurait ... Leo pleurait a cause d celui ! Pourquoi ? Une raison précise où c'était juste un tout. Mais a la réponse du jeune homme, il l'observa septique. Il n'y croyait pas. Un truc qui lui piquait les yeux ? C'était quoi ça ? Un mensonge ? Pourquoi Leo refusait il de lui montrer ses faiblesse comme si c'était un mal ? Les hommes avaient le droit de faiblir, de pleurer ! Il avait pas mal craquer pendant els vacances, le soir seul, et il n'en avait pas eu honte ... enfin si ! Un peu beaucoup ! Mais la, il avait des raisons d'etre comme ça !

Il fit un peu sourire alors sur les lèvres du jeune homme, et préféra ne pas insister. Si Leo ne voulait pas avouer qu'il pleurait, tant pis !

"Bien !" dit il en lui rendant son sourire et en s'adossa un peu plus contre le dossier. Il observa le jeune homme pas rassuré pour autant, tant sur le pourquoi de Leo pleurait, et sur leur couple. Qu’allait il se passer maintenant ? Regulus frissonna au contact de la main de Leo sur son bras, et sourit un peu plus, lui attrapant d'un coup la main, l'enfermant dans la sienne, et rivant son regard dans celui du jeune homme. "Ca chatouille !" déclara-t-il d'un ton grave mais un doux sourire aux lèvres.

Il espérait sincèrement que Regulus ne dise rien. Car sinon il risquerait fortement de se fâcher un peu. De toute il ne voulait pas en parler… même si des craintes restaient toujours ouvertes… il décidait pour le moment de simplement vivre au jour le jour… il verrait bien comment ça allait se passer à l’avenir…

"Bien !"

Bien oui… Il était rassuré de voir que Regulus respectait ce petit point. Il ne voulait plus en parler. Il avait faiblit… et il n’aurait tout simplement pas du. Il sentit la main de Regulus lui saisir la sienne et il le regarda dans les yeux.

"Ca chatouille !"

Que ça ? Attend de voir que je peux faire bien plus que ça, dit-il en souriant, un pointe de défis dans la voix. Oh oui… Ce n’était pas parce que Reg était son… petit ami… qu’il ne devait plus le considérer comme son meilleur ami. Et… pour ce qui est des bagues ? Il allait peut être bien les garder encore un peu…

Leonidas tira le jeune homme contre lui et passa son bras autour du cou de Regulus pour le faire s’allonger à moitié contre lui. Il était fatigué… il voulait se reposer un peu…Il reposa ses pieds sur le siège devant lui et sourit au jeune homme.

Maintenant dodo !

Maintenant ? XD oui et pas de discussion. Il voulait garder le jeune homme contre lui.

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Si il y avait une chose que Reg ne supportait pas c'était les chatouille. Combien de fois Leo l'avait il mit au tapis pendant une simulation de combat en le prenant a traître et en l'attaquant de la plus horrible des manière : par les chatouille ! Mais ça s'était avant, quand ils étaient enfant, quand ils étaient amis, que leur jeu se résumé a se cacher et a compter jusqu'a 10. Aujourd'hui les jeux avaient grandit, comme eux !

Ce qu'il pouvait faire ? Le regard de REgulus se mit a lancé des éclair, mais toujours ce sourire aux lèvres pour lui montrer que c'était pour plaisanter. Qu'il ose, il ne se laisserait pus faire. Même si niveau gabarit Leo le battait ! Mais la, le jeune homme ne lança pas une bagarre.

Il se senti attiré d'un coup vive contre son amour et se retrouva allongé sur lui, rivant son regard dans celui du jeune homme. Ils étaient si beaux. Il s'était prit à aimer les détailler. Une couleur plutôt surprenante qui pouvait varié du brun pale au vert doré. Tout dépendait de la lumière du jour, artificielle, du moment de la journée. Alors parfois, oui ! Il s'était plu a les détailler un peu plus, car il avait l'impression que les iris de Leo n'était jamais les même. Et là, il se plaisait dans leur contemplation.

Reg allongé aussi ses pieds sur le canapé du train et sourit. Dodo ? Mais il n'avait pas sommeil lui ... Pourtant l'idée de rester dans les bras de son homme, il ne demandait pas mieux. Il posa sa tête sur l'épaule de Leo, se sentant enfin bien, en sécurité, et ferma les yeux.

"Je te réveille quand on arrive Honey !" murmurât-il les yeux entrouvert, posé sur son homme. Son coeur battait, l'angoisse de l'avenir le prenant. Comment ça allait se passer ? Comment allait il s'en sortir avec cet amour qu'il ressentait pour Leo et qui n'aurait jamais du exister. Comment pourrait il sauver cet amour si il était mit a jour ?

Il ferma les yeux, se collant un peu plus dans les bras de son homme, cherchant la sécurité et du réconfort. Sa vie était encore plus en bordel qu'avant, mais désormais il savait une chose : il ne pouvait pas vivre sans Leo.

Tsss… il n’avait pas besoin de faire une tête comme ça S’il voulait le chatouiller il n’avait qu’à le faire. Mais bon pas maintenant. Il sourit un peu plus, gardant les doigts du jeune homme entre les siens et sentit que Regulus consentit à bien vouloir rester contre lui. Parfait… il avait besoin sur le coup de simplement le garder dans ses bras. Ce n’était pas énorme… mais assez. Il ne savait pas quoi avoir de plus sur le coup aussi. Ça lui suffisait amplement.

"Je te réveille quand on arrive Honey !"

Leonidas acquiesça de la tête et lui caressa doucement les doigts puis ferma les yeux. Il posa sa tête à nouveau contre la vitre et laissa échapper un fin soupire. Là… il était bien… mais combien de temps ça allait durer ? Après tout… qu’avaient ils réglé ? Rien… absolument rien… Tout était encore comme avant… maintenant fallait seulement que peut être eux d’eux s’en sortent mieux. Niveau couple de l’année, ils allaient encore attendre pour avoir ce prix…

Mais oui... il avait décidé de ne pas abandonner c'est tout...

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