Réconciliation autour de quelques plumes [ pv Alice ]

Invité

Franck se leva ce matin bien décidé à mener son projet à bien ou du moins à espérer qu'il puisse fonctionner car là s'en s'était trop. Trop oui ! Alice et lui ne s'étaient pas parlés depuis presque une semaine. Leur dernière discussion remontait à ce matin là, il y a cinq jours, où il avait apprit qu'Alice sortait avec Sirius et que se rapprocher d'elle pourrait donner de fausses idées à son ami. Mais il n'arrivait pas à s'y tenir, elle lui manquait trop, sa candeur, sa gentillesse et sa douceur lui manquait. Alors la veille il avait eu une subite dose de courage et il avait écrit une lettre à Alice, une lettre qui disait un peu près ceci

Chère Alice,

Je sais que ces derniers temps on ne sait pas ~~parlé~~ adressé la parole et je n'ai qu'une chose à te dire...~~Tu me manques~~ Ta présence me manque. Je penses beacoup à toi et j'ai envie de retrouver notre complicité en espérant que Sirius ne m'en tienne pas rigeur. Cinq jours ça peut parraitre peu et tu pourras me trouver ~~stupide~~ ridicule mais imagine la dose d'effor que m'a demandé ce petit bout de parchemin certes tout raturé. Je n'espère pas de réponse, juste si tu le souhaites me retouver dans la volière demain à 17h. Je t'attendrais là-bas quoi que tu décides.

~~un garçon maladroit~~ Franck Londubat

Maintenant il attendait dans la fameuse volière. Il était 17h10 et il attendait en espérant qu'elle est bien reçu la lettre et qu'elle vienne.

Invité

C’était avec un sourire amusé et amoureux qu’Alice avait lu la lettre de Franck. C’était si mignon, tout hachuré partout, comme s’il avait été horriblement gêné lorsqu’il l’avait composé et qu’il ne savait pas du tout comment s’y prendre. Le cœur de la jeune femme avait fait un bond lorsqu’elle avait lu qu’elle lui avait manqué. Vraiment ? Oh, la présence du jeune homme aussi lui avait plus que manquée à elle aussi, elle devait se l’admettre. Mais, elle n’attendait aucune lettre, ni rien d’autre de ce genre. Elle croyait qu’il s’était totalement désintéressé d’elle. Apparemment, ce n’était pas du tout le cas. Du moins, elle l’espérait bien.

C’est avec le cœur léger, mais plein de papillons dans l’estomac, qu’Alice se dirigea vers la volière. Elle avait convenue d’arriver au moins quinze minutes en retard. De cette façon, elle ne semblerait pas être une de ces adolescentes gloussantes totalement accros à leur copain... ou futur copain. Et lorsqu’elle entra dans la volière, il y était déjà. Le cœur d’Alice fit un bond et ses joues prirent une légère teinte rosé qui avait au moins le mérite de la faire paraître en bonne santé. Il était dos à elle. Elle s’avança lentement et d’une voix douce murmura :

- Bonjour Franck.

Il fallait avouer que la volière était un étrange lieu pour une rencontre, mais qu’importe tant que c’était avec Franck !

Invité

Franck regardait par l'ouverture que laissait la volière. Il était persuadé qu'elle ne viendrait pas, qu'elle préferait ne plus le voir. Cela faisait presque une quinzaine de minutes mais elle n'était toujours pas là mais si elle venait il ne lui tiendrait pas rigueur au contraire. Il serait si content qu'elle vienne. Pourquoi ? Aucune idée mais il l'aimait bien c'est tout. Il l'aimait même beaucoup comme il se l'était enfin avoué à lui même. ommage qu'elle soit trop bien pour lui et qu'elle lui préfère à juste titre Sirius Black, coqueluche des filles de l'école.

Franck sentait son coeur s'emballer sans raison apparente. Si elle venait qu'allait-il lui dire car en vérité il avait beaucoup réfléchit à la lettre mais pas à ce qu'il allait dire si elle venait persuadé qu'elle ne le ferait pas. Quel manque de confiance en lui, affolant ! Il s'imaginait bêtement lui sourire, l'inviter à s'assoir sur une couverture qu'il avait ammener. Ah bah oui, ils n'allaient pas s'assoir au sol au milieu des plumes et des déjections ( glamour ^^ ) de volatiles batifollants et 'envolant pour des destinations variées.

Soudain son coeur vit un triple saut dans sa poitrine. Elle était là, elle était venue ! Elle venait de lui dire bonjour. Il ne savait quoi dire où faire alors il se contenta de se lever vers elle, l'invitant sur la couverture posée au sol avec une vue sur le lac. Il passa sa main sur sa nuque, fit un sourire gêné et lui lança

- Bonjour à toi Alice. Je suis à la fois content et étonné que tu sois venues...J'avais peur que...Tu....Tu...Ne viennes pas.

Invité

Alice eu un petit rire lorsque Franck bégaya en lui disant qu’il avait eu peur qu’elle ne vienne pas. Décidément, il avait du charme, enfin, de son point de vue à elle. Elle ne pouvait pas résister à un jeune homme aussi adorable et gentil que Franck. Elle le regarda un instant, plantée là, sans rien dire. Son regard était doux et ses joues rosées. Puis, elle sembla déglacer et se dirigea lentement vers la couverture qu’il lui avait pointée. Personne d’autre que lui n’aurait pensé à cela, mais même si ça semblait être horriblement étrange comme endroit de rendez-vous à première vue, une fois installée sur la couverture, Alice trouva la vue et l’endroit très charmants. La jeune femme tendit la main à Franck pour qu’il prenne place à ses côtés.

- C’est vraiment une belle vue qu’on a devant les yeux.

La jeune femme lui fit un beau sourire, heureuse de partager ce moment avec celui qui hantait ses pensées depuis près de six ans. Elle avait du mal à détourner son regard de Franck, même si elle devait sembler un peu étrange. Ses cheveux ébouriffés, ses beaux yeux sombres, son nez droit, ses lèvres fines... tout en lui charmait Alice. Et c’était sans compter ses nombreuses qualités si attachantes. Et sa carrure... Alice rougit légèrement à cette pensée. Elle devait s’arrêter là, sinon elle s’évanouirait sous le coup de la gêne !

Invité

Franck se sentait vraiment bien en cet instant. Il venait de se réconcilier avec Alice ou du moins allait-il réelement le faire et ils passaient un peu de temps rien que tous les deux. C'était fou ! Fou la manière dont cette fille avait changer sa vie, fou de voir que quelques jours sans elle le laissait malheureux. Son amitié lui était très précieuse, si seulement elle....

Franck la regardait observer la vue, oh que oui la vue était magnifique, et pas seulement celle de la volière à n'en pas douter. Il voulait lui dire tellement de choses, il voulait parler de tout et de rien mais aucun son ne sortait de sa bouche. Alors en attendant de trouver les mots justes il l'observait. Il regardait ses petites manies, sa façon de rougir toute seule quand elle devait penser à quelque chose de gênant ou qu'elle ne voulait pas dire. La façon dont son regard pétillait quand il lui disait de simples mots qui la faisait sourire. Alors tout naturellement, quelques nts lui vinrent. Des choses très simples mais qui combleraient le vide.

- Alors qu'est-ce que tu as fais pendant ses quelques jours où...Nous avons été...En froid ?

Invité

C’était silencieux. Alice entendait quelques froissements de plumes discrets, mais rien de plus. Peu lui importait. Elle était avec Franck et tout lui paraissait magnifiquement romantique. La jeune femme était aux anges, c’était le cas de le dire. Elle ne s’en faisait même plus d’être coincée à Poudlard. Elle l’était avec Franck, non ? C’était donc parfait. Rien ne pouvait être alarmant s’il était là... Alice se sentait étrangement sereine et calme. Puis, il ouvrit la bouche. Une belle voix masculine qui la faisait frémir... Oh, il la rendait folle, complètement folle !

Elle hésita un peu à répondre. En froid... ce n’était pas un terme qu’Alice affectionnait particulièrement.

- En froid ?

Non, Alice ne voulait pas admettre ce petit détail...

- Je dirais plutôt très occupés à étudier pour les ASPIC. Non ?

La jeune femme lui fit un petit sourire en le regardant tendrement.

Invité

Fracnk sourit maladroitement. Elle ne considérait donc pas qu'ils avaient été en froid, il avait donc mariné dans son jus pour rien. Lui qui royait qu'elle lui en voulait, disait-elle ça pour ne pas l'avouer ? Curieux...Vraiment curieux. Il était persuadé qu'ils étaient pourtant en froid mais peut-être n'aimait-elle pas ce terme. Après tout, il ne l'aimait pas lui aussi mais il ne trouvait pas d'autres mots qui se rapprochait de ce qu'il pensait. Il passa donc machinalement sa main sur sa nuque avant de dire

- Oh et bien si je comprends bien, je me suis fais des idées encore une fois. J'ai cru que tu étais fâché et je crois savoir que...Et bien...Ce matin là...Dans la salle commune tu...Tu...As pleuré par ma faute.

Il avait osé le dire. Il avait osé reparler de ce matin difficile dont les larmes de la gryffodors avaient ternis sa journée. Il repensait souvent à ce visage angélique couvert de larmes. Cela la rendait encore plus belle mais cela prouvait malheureusement sa tristesse du moment.

Invité

Alice eu un petit sourire piteux. Oui, elle avait pleuré comme une Madone ce matin-là... Et ça avait continué encore bien longtemps dans les bras de Sirius. La jeune femme s’en voulait encore d’avoir fait cette scène. En plus, Sirius lui avait prouvé qu’elle s’était alarmée pour rien... Enfin, ce qui était fait était fait. Il fallait tout de même aller de l’avant. Mais, avant cela, Franck avait bien le droit à un petit réconfort.

- Mais non... ce n’est pas de ta faute. Qu’est-ce que tu aurais pu dire pour que je me mette dans un tel état ?

*Qu’il ne me voit que comme une amie...*

En pensant à cela, Alice eu un petit pincement au cœur. Elle posa son regard à côté d’elle, où Franck n’était pas. Finalement, elle le regarda à nouveau avec de grands yeux de biche.

- Je me demande si tu es seulement capable de faire du mal à quelqu’un. Je n’ai pas l’impression que c’est dans tes cordes !

La jeune femme eu un petit rire, mais se dit qu’après tout, envers elle, Franck avait les bonnes armes pour faire mal... Mais, il y avait encore un petit quelque chose qu’elle devait éclaircir...

Invité

Franck lui sourit d'un air faussé. Oh si malheureusement il savait faire mal et ce à son inçut. Il ne le faisait jamais volontairement et pourtant il lui arrivait de blesser de gens. Pour certains c'était tant pis mais pour Alice c'était dur à avaler. Surtout qu'elle prétextait que ce n'était pas de sa faute alors qu'il savait malheureusement que si. Elle n'aurait pas pleurer sinon à ce moment là, juste après ces paroles qu'il ne pensait même plus vraiment depuis quelques temps.

- Tu sais, je suis capable de faire du mal aux gens mais je ne le fais jamais avec intention. Je le fais malgré moi sans le vouloir et c'est ce qui est encore plus triste. Toi par contre j'ai du mal à te voir dans le rôle de la vilaine.

Il avait dit cela en toute honnêté, il voyait Alice comme un ange, un ange tout mignon qui avait besoin d'être protéger et réconforter et qu'on avait peur de briser.

Invité

Alice eu un petit sourire timide puis, les joues rosées, passa doucement ses bras autour du cou de Franck. Il était si mignon, elle n’avait pas pu résister... En espérant qu’il ne la repousserait pas. À cette pensée, la jeune femme eu des milliers de papillons dans l’estomac. Mais, elle dit tout de même ce qu’elle avait à dire.

- Oh, je te vois mal faire du tord à quelqu’un avec une intention derrière ! Tu es si adorable, Franck.

Elle lui donna un petit baiser sur la joue puis, les joues en feu, s’éloigna à nouveau, sans trop se décoller. Elle ne voulait pas être loin de lui ! Alice rigola lorsqu’il lui dit qu’il la voyait mal dans le rôle de la méchante.

- Je ne suis peut-être pas vilaine, mais je suis une petite princesse gâtée, alors gare à toi !

La jeune femme rit à nouveau. Comme ça faisait du bien d’être avec Franck... elle se sentait si... légère ! La petite McAlister regarda ses mains un instant, puis posa ses yeux sur Franck. Elle devait vraiment mettre quelque chose au clair.

- Au cas où tu aurais mal compris quelque chose... Moi et Sirius, nous ne sommes que de bons amis... J’ai eu l’impression qu’il y avait eu un quiproquo dans cette histoire...

La jeune femme rougit un peu plus. Elle détestait parler de cela... elle avait été sotte de croire que la jalousie fonctionnerait avec Franck !

Invité

Franck sentit son poul augmenter, sa respiration se saccader quand la jolie blonde passa ses main autour de son cou pour lui parler. Il se serait même arrêter de respirer pour un peu. Son parfum qui venait se coller à ses narines. Il se sentait dépasser, il était en mode " off ". Puis elle se détacha un peu ce qui redonna de la constance à Franck mais qui le rendait un peu triste en même temps. Le bisou sur la joue lui remonta au cerveau que bien après quand il sentit sa joue chaude. Avait-elle ? Ouah, un bisou, il avait eu un bisou !

Un enfant gâtée ? Bah qu' y avait-il de mal à ça. Lui n'avait pas pu avoir cette enfance gâtée alors si elle avait pu l'avoir il lui parraissait normal qu'elle est pu en profiter au maximum, entourée d'amour et d'une famille unie. Lui aurait tout donner pour une journée avec son père et sa mère comme autrefois, tout !

Puis Alice en vient à s'expliquer sur sa pseudo relation avec Sirius Black. Alors comme ça son discours dans la salle commune était stupide, encore ! Il avait eu un pincement au coeur de savoir cette fausse idylle pour rien. Cependant, cela soulageait le jeune homme. Pourquoi ? Allez savoir....

- Oh tu sais je...Je...Enfin, je n'ai cru que ce que j'avais vu et j'ai juger trop vite. Je...Je trouvais que vous étiez pourtant mignons ensemble...Mais je suis sûr que tu trouveras l'homme qu'il te faut.

Invité

Mignons ensemble ? Il n’avait rien d’autre à dire ? Il les trouvait mignons ensemble, elle et Sirius et voilà ? Premièrement, elle ne trouvait même pas qu’elle et Sirius faisait un couple assorti. C’était ridicule comme idée. Et puis, deuxièmement, il essayait de faire quoi ? Les encourager à sortir ensemble ? La jeune femme reporta vivement son regard sur la vue qu’ils avaient de l’extérieur. Elle ne pouvait pas regarder Franck après cela... Pourquoi... Oh, elle s’en faisait probablement encore pour rien. Sirius le lui aurait bien dit. Mais, en même temps, elle ne pouvait pas s’en empêcher. La jeune femme prit une profonde inspiration pour se calmer. Ça ne servait à rien de s’énerver pour si peu. Franck était maladroit, autant en geste qu’en mots. Elle devait s’habituer. Il n’avait probablement dit cela que pour combler un vide... oui, c’est ça, un gros vide...

Alice reprit un petit sourire avant de se retourner vers Franck. Elle n’avait pas vraiment envie d’afficher ce sourire, mais il ne fallait pas non plus mettre le jeune homme mal à l’aise pour rien.

- Mais oui, on trouve tous la perle rare un jour, non ?

Elle tentait surtout de se rassurer elle-même...

Invité

Franck lui sourit et répondit à sa question sur la perle rare. Après tout, il avait bien une petite idée sur la question mais c'était la première fois qu'il en parlait à une fille

- Euh...Personnellement je ne suis pas sûr que tout le monde la trouve un jour. Seuls ceux qui le veulent vraiment le peuvent mais pour toi je ne me fais aucun soucis je sais que tu trouveras la perle rare. Qui sait ? Peut-être connais tu déjà cette personne. Que tu lui parle souvent où que tu la connais juste de loin. Pour t'avouer un secret...Je sens au fond de moi que cette année quelqu'un va faire irruption dans ma vie et que je voudrais qu'elle y reste à tout jamais.

Il rit un peu avant de la prendre par l' épaule et de rajouter

- Cela doit te parraitre bête non ? Après tout ce n'est qu'un préssentiment....Mais...

Il s'arrêta là et laissa la jeune fille méditer sur ce qu'il venait de dire. Il s'attendait à ce qu'elle lui réponde ce qu'elle pensait de tout ça. De plus, il voulait vraiment son avis sur la question.

Invité

Alice eu un petit sourire lorsque le bras de Franck se posa contre son épaule. Suivant le mouvement, elle ne pu s’empêcher de se laisser tomber contre l’épaule du jeune homme. C’était... confortable, oui. Elle hocha doucement la tête, fixant la fenêtre tout en savourant l’instant :

- Non, ça ne me paraît pas bête du tout, au contraire. Je trouve ça très mignon.

La jeune femme passa ses bras autour de la taille de Franck, se serrant contre lui. Elle pouvait bien se le permettre, non ? En fait, elle n’avait pas vraiment pensé avant d’agir, mais c’était ça qui était bien avec Franck. Elle pouvait se laisser aller, elle savait très bien que jamais il ne la jugerait. Oui, elle l’avait bien compris, ça.

- J’espère que tu ne te comptes pas parmi ceux qui ne la trouveront jamais... Parce que tu es fantastique. C’est impossible que tu ne trouves pas l’âme sœur. Cette personne va sûrement être la bonne pour toi.

Et Alice espérait vivement que ce soit elle...

Invité

Frank n'osait plus bouger, c'est à peine si il osait respirer pour tout dire ! Alice était la tête appuyé sur son épaule, collée à lui mais il ne s'en plaignait pas seulement il ressentait de drôles de choses et ça il n'arrivait pas à l'expliquer. Franchement c'était fou comme le fait d'être près d'elle le rendait bizarre sans raison ou du moins sans raison su'il voulait voir ! Il s'avait qu'il l'aimait beaucoup mais alors pourquoi après plusieurs semaines il ressentait encore ça. Vraiment très étrange.

- Merci Alice...Merci...Et non comme je t'ai dit je suis sûr que je vais la trouver comme je suis sûr que tu vas le trouver. J'espère que tu me le présenteras...

Il avait dit ça comme ça, c'était sortit tout seul, il voulait savoir qui aurait la belle Alice car il fallait que se soit quelqu'un de gentil et d'intéressant. Il ne savait pourquoi il voulait à tout prit rencontrer le futur homme dans la vie d'Alice mais tout ce qu'il savait c'est qu'il voulait être sûr qu'elle soit bien et heureuse car elle le méritait emplement.

Invité

Alice était horriblement bien. Ce devait être péché de se sentir si légère, comme si elle n’avait plus aucun poids sur les épaules. Les ASPIC n’existaient plus. Le dôme invisible les coupant de toute civilisation en dehors de Poudlard non plus. Il lui semblait que tous ses soucis se soient évaporés comme par magie. La jeune femme avait un sourire sur le visage que même le commentaire de Franck ne pu effacer. Elle qui aurait habituellement été frustrée de l’entendre dire une telle chose, prétendre que c’était quelqu’un d’autre que lui l’homme de sa vie, cela ne lui fit pourtant rien.

La jeune femme rigola en disant doucement :

- Tu le connais peut-être déjà.

Oui, il le connaissait très bien même... Probablement mieux que quiconque, ce qui n'était pas peu dire. La jeune femme n'était pas prête à le lui avouer, mais elle le ferait peut-être, finalement... Raine ne lui avait pas dit de prendre son courage à deux mains et de faire une vraie Gryffondor d'elle ? Oh... tout ça était horriblement mêlant.

Invité

Ah bon, alors comme ça il le connaissait peut-être déjà. Pas Sirius s'ils n'étaient plus ensemble sauf si elle l'aimait toujours mais il en doutait...Alors qui ? Bizarement quand elle avait dit ça il avait senti comme une mini pointe de jalousie envers cet homme inconnu. Son amie Alice méritait le meilleur. Pas lui certes car il n'était pas assez bien et Alice ne l'aimait pas et lui la considérait comme...Comme...Bah il n'en savait rien en fait mais....Franck regarda Alice et répondit d'un ton plus morne

- Ah tu crois, il est donc dans cette école et je pense qu'il doit être en 6ème ou 7ème année, fais gaffe, je vais peut-être...Enfin...Tu vois...Surveiller...

Il avait peur de lâcher sa phrase, peur qu'elle se moque de lui et du fait qu'il voulait la surveiller mais il savait qu'Alice n'était pas du genre à se moquer. Elle était trop douce pour cela. Il attendit donc qu'elle réponde à sa phrase surprotectrice en guettant le moindre signe d'énervement chez la jeune fille. Mais il lui fit son sourire maladroit avec passage de main dans la nuque durant le temps où Alice ne parla pas espérant appaiser si appaisement il devait y avoir.

Invité

Alice eu un petit sourire aux paroles de Franck. Il comptait vraiment jouer les grands frères protecteurs envers elle ? La jeune femme retint un soupir. Elle avait beau tenter de ne rien dramatiser, il lui semblait que son comportement ne semblait pas s’apparenter à un garçon pouvant tomber amoureux d’elle... Et pourtant, c’était tout ce qu’elle désirait. Elle savait qu’elle aurait du arrêter de s’en faire avec ça, mais elle ne le pouvait pas. Cependant, elle ne fit que répondre :

- Je te le présenterai...

Oui, elle le fera... En espérant ne pas avoir à le faire. Elle le voulait lui et pas un autre. Mais, il semblerait que ce n’était pas fait pour fonctionner... Alice avait beau tenter de s’enlever ces pensées de la tête, elles ne faisaient que revenir et revenir. Elle devrait bientôt partir, avant de faire une crise d’on-ne-sait-trop-quoi... Avoir les sentiments à fleur de peau, ce n’est jamais agréable. Mais, Alice avait toujours été une grande sentimentale...

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Franck lui fit un de ses plus beaux sourires, certes maladroit mais le couer y était. Il sentait qu'Alice semblait moins joyeuse qu'au départ. Mais comment arrivait-il à la changer dans le mauvais sens du terme avec se mots. Il voulait la faire rire pas la voir se retenir de soupirer. Il fallait qu'il remonte la pente. Allez Frack un peu de courage.

- Et bien en attendant, je vais profiter un peu de toi alors. Dit-il en passant rapidement sa main sur la joue d'Alice sans réellement faire attention à son geste qui lui était venu instinctivement.

Il avait dit cela sans arrière pensée, sans se rendre compte de la portée de ses paroles. Il n'avait pas réagit, cela lui passait bien au-dessus. Il voulait en effet profiter de son amie avant qu'un homme ne la lui vole ce qui ne lui parraissait pas quelque chose d'agréable. Mais comment se faisait-il qu'il pensait ça d'elle. Pourquoi voulait-il la voir sourire et rire. Bonne question à laquelle il n'essayait pas de répondre, se contentant de penser qu'il devait au fond avoir besoin d'une amie. Franck observait Alice pour avoir une réaction à sa phrase protectrice en espérant qu'elle ne la prenne pas mal.

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Alice retrouva le sourire lorsqu’elle aperçu celui que Franck avait sur les lèvres. Il était horriblement maladroit. Cette caractéristique du jeune homme était la préférée d’Alice ! Ses petites maladresses lui conféraient tellement de charme ; il en était seulement plus attirant ! Alice était sur le point de faire une réflexion lorsque, soudainement, elle sentie la main du jeune homme sur sa joue. Ce doux contact lui fit instantanément oublier ce qu’elle avait pensé dire. Elle resta figée quelques instants, regardant Franck, totalement hébété, mais terriblement heureuse.

Puis, elle défigea et laissa échapper un petit rire. Habituellement, ses tendances à tout dramatiser lui aurait fait mal prendre cette petite phrase. Mais, totalement sous le charme, Alice reprit la main de Franck et la frotta doucement sur sa joue.

- Je suis d’accord.

Alice laissa échapper un nouveau petit rire. Son cœur battait très fort... c’était étrange comme sensation, mais agréable.

[HJ : Faut pas t'inquiéter mon Franck, ça va bien se finir avec Alice, malgré Parris Réconciliation autour de quelques plumes [ pv Alice ] 342288

Réconciliation autour de quelques plumes [ pv Alice ] 342288

]

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( HS : je ne m'inquète pas, je vais m'occuper de lui Twisted Evil

XDDDD )

Toute personne arrivant à ce moment précis dans la volière aurait cru que Franck était sous un sortilège quelquonque. Son visage affichait un air béa et un peu niais du fait qu'Alice venait de reprendre la main qu'il avait passé furtivement sur la joue de la demoiselle. Elle était radieuse, riant comme ça dans la volière. Franck se disait que l'homme en question aura bien de la chance d'avoir une perle comme Alice. Et le fait qu'elle ne repousse pas son geste mais au contraire le refasse lui donnait du baume en coeur sans qu'il sache vraiment pourquoi. Il était simplement heureux .

Il laissa faire Alice, la regardant dans les yeux avec une certaine gêne. Ce genre de proximité le rendait tout chose, il n'aimait pas être près des gens.. Avec elle cela passait encore mais il avait peur du ridicule, peur d'avoir quelque chose qui cloche et qui face rire Alice. Il avait tout simplement peur du regard d'Alice. Il voulait changer de sujet en pensa tout naturelement à leurs carrières d'auror

- Alors sinon tu en es où dans ton dossier pour ta future carrière ?

Il avait lancé un sujet qu'il aimait tous les deux et qui étaient leur principal point commun, la carrière d'auror.

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Le sujet changea rapidement, mais Alice aimait bien parler de sa future carrière d’auror. Elle fit un sourire, mais poussa un petit soupir. Les formulaires à remplir étaient... horribles. La jeune femme secoua doucement la tête en disant :

- Tu as commencé à remplir les formulaires ? Si ce n’est pas le cas, commence au plus vite ! Ils sont horribles !! Ça se fait, mais c’est horriblement long. Je n’ai même pas encore fini.

Alice soupira en posant son regard sur la fenêtre. C’était vraiment de la paperasse, devenir auror. Enfin, ce n’était pas si grave que ça. Elle s’imaginait déjà à l’académie des aurors. Ce serait génial ! Surtout que Franck était supposé y être lui aussi... La jeune femme posa son regard sur le Gryffondor. Oh, il ferait un charmant auror. Elle l’imaginait déjà dans le feu de l’action... Hmmm...

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Franck la regarda amusé. Croyait-elle vraiment que malgré sa maladresse abusive il n'avait pas commencé son dossier ? c'était mal de connaitre, il l'avait commencé et même poffiné, il ne lui restait que quelques cases à remplir. Il s'y était prit dès le début des inscriptions, il avait voulu commencer le plus rapidement possible pour ne rien oublier et pouvoir le remplir tranquilement sans se faire piéger par le temps. Il avait même été jusqu'à faire des recherches poussés pour certaines des questions du formulaire. Il lui préondit donc d'un air détaché

- Si, si je l'ai commencé mais pas finit non plus. Je m'y suis prit bien à l'avance pour avoir le temsp de le terminer correctement. J'espère qu'on pourra tous els deux y être et faire le stage. Pour toi je ne me fais pas de soucis, tu es débrouillard, maligne et courageuse et en plus très jolie avec ça, moi je suis maladroit et peut-être pas assez courageux.

Il ne s'était même pas rendu compte durant sa tirade qu'il avait avouer la trouver jolie, il avait débiter un flot de paroles pour être sûr de ne pas béguieller au milieu. Il avait donc parler sans vraiment réfléchir ni analyser ses mots.

Invité

Alice rougit légèrement aux compliments de Franck. Ce n’était pas rien, ce qu’il lui avait dit. Et la jeune femme se doutait bien qu’il devait être sérieux. Aussi, dit-elle un petit « merci », rajoutant :

- Mais, je doute fort que le fait d’être jolie m’aide beaucoup là-dedans.

La jeune femme laissa échapper un petit rire à cette remarque, puis continua sur une autre lancée :

- Franck... Comment peux-tu dire ça de toi ? Je suis certaine que tu es l’un des plus courageux Gryffondor. La femme que tu auras sera bien chanceuse.

Alice baissa la tête. Elle aurait bien aimé être cette femme... La Gryffondor se mordit la lèvre inférieure à cette pensée. Est-ce que ça pourrait arriver un jour ?

Invité

Franck rougissait à vue d'oeil, il n'avait jamais vu une fille faisant autant de compliments qui semblaient venir du coeur que Alice. Elle était si gentille, douce et fragile à la fois que Franck avait peur de la blesser par un mot ou un geste maladroit dont il avait malheureusement le secret. Il ne voulait plus la voir pleurer parce qu'elle était triste, snas vraiment savoir pourquoi, il ne l'acceptait pas. Cela lui faisait beaucoup de peine. Il ne savait donc quoi répondre à la demoiselle assise à ses côtés. Tout en réfléchissant il remarqua alors l'heure qu'il était. Ne faisant pas attention il retourna à ses pensées avant de sursauter en regardant de nouveau l'heure. Par Merlin ? Il allait être en retard ! Il avait promis à Stacy de l'aider un peu pour un devoir qu'elle avait trouver dur et il s'était proposer de l'aider. Après tout elle était une amie ou plsu exactement la meilleure amie de son meilleur ami. Il se leva alors doucement en regardant Alice

- Je suis désolé Alice mais je vais devoir écouter notre conversation, j'avais oublié que j'avais un cours de soutien à donner à une amie. Je...Tu veux bien qu'on remette ça très vite ?

Il attendit la réponse de la jeune fille, puis lui proposa

- Je te raccompagne à la salle commune si tu veux je dois y récupérer mes affaires ?

Et il attendit une fois encore la réponse de la jeune fille avant de se diriger vers la sortie de la volière.

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