Model. { Libre }

Cela fessait un certains temps qu’il n’y avait pas était question de sortie à prés au lard. Cependant, une sortie fut annoncer pour le samedi avenant à la plus grande joie des élèves qui commencer à manquer d’énormément de choses ; les filles manquaient de nouvelle fringues à ce mettre ; les plaisantins manquer en approvisionnement de produit venant de la boutique de farce et attrape ; les sportif voulais voir les nouveau balais et vif d’or et jurer qu’il rêver d’en avoir un ; il y avait les Serdaigle pressé da se rendre à la librairie pour avoir de la lecture nouvelle sous le nez ; les serpentard qui visiter les boutique qui vendait des objets maléfiques et puis les gourmands qui couraient à la galerie de bonbons ; ces gens la vivait que pour leur ventre… Jessica ce leva assez tôt ce matin là ; tout ce qui souhaiter ce rendre en ville c’était lever un peu plus tôt sans le savoir vraiment, peut-être inconsciemment ils étaient pressé d’y allé et cela perturber leurs sommeil. Jessica se rendit en salle de bain après avoir longuement choisis l’une de ses tenue de ville, les plus excentrique s’aligner dans la penderie ; elle ne savait pas tout à fait laquelle mettre, entre celle Dior et Givenchy au milieu des créations de la Poufsouffle. Personne ne fessait de différence entre ces robe mais elle, elle qui les confectionner ou les acheter tel une fanatique de l’imagination qui la créer. Et pour une fois elle prit une robe elle pensa sobre, pas vraiment pour les autres, mais pour elle si. Mais cette robe était l’une des créations de Sylvain Combe d’ordinaire créateur de robe de marié mais qui c’était essayer sur des robes de ville et qui avait une fois de plus excellé. Il s’agissait d’une robe en cuir noir longue jusqu’au milieu des cuisses a manche débardeur, dos nu ovale. Elle prit un leggins noir car il fessait froid ; et une ceinture rouge sang. Elle entra dans la salle de bain, prit une douche tiède ; elle s’habilla alors qu’on entrait dans la salle de bain à tout viens elle se ficha des autres jeunes filles ; il lui sembla que la nudité n’était pas la fin de monde et c’était celle qui se cacher qui étaient risible. Elle monopolisa longuement le miroir, il fallait du temps à la jeune femme pour maquiller ses yeux en noir, puis elle son gloss transparent sur ses lèvres rose puis elle rangea son maquillage et l’emmena dans sa chambre et le mit dans son tiroir qu’elle ferma à clé puis rangea la clé, manœuvre obligatoire, elle avait vu grand nombre de ses accessoires disparaitre. Elle cacher tout ses accessoire, sauf les robes car si quelqu’un en volait une elle le verrait tout de suite et elle retournerait toute les armoires du dortoir. Elle prit son sac rouge sang ; elle y rangea son calepin ; et de la monnaie. Elle ne compter pas faire de grande dépense ; elle avait largement de quoi se vêtir elle y allait uniquement pour changer d’air et pour surtout avaler quelque verre de whisky. Elle retourna en salle d’eau pour restructurer ses boucles roses puis elle sortie enfin après avoir échangé un sourire avec une jeune fille qui complimenta sa robe. Elle sortie et descendit en cuisine en se fessant très discrète prendre une pomme rouge ; puis elle sortie dehors prés de la fontaine ou était déjà regroupé bon nombre d’élève. Elle échangea quelque paroles peut importante avec Raine puis elle se mit à suivre avec les autres la direction de la sortie. Tous trouvèrent une place dans le train et tout le monde arriva à 10 heures à prés au lard. Tout le monde eut quartier libre, sans exception. Les quatre professeurs accompagnateurs allaient eux aussi faire quelque emplettes ; des livres, grimoires,… Jessica resta avec un groupe de jeune fille de sa maison qui entrait dans la boutique de prés à porter. Elle resta quelque peut en retrait. Elle les regarder choisir des robes de mauvais gout, histoire d’avoir une robe de dépenser son argent… C’était une mentalité courante. La jeune femme vers 11 heure se retira du groupe en déclarant qu’elle avait rendez vous. Rendez vous ? Non ce n’était qu’une excuse pour partir, car ses filles étaient assez désolantes ; gentilles mais désolantes… La jeune femme marcha seule, ses talon aiguille frappé le pavé sèchement. Elle s’arrêta devant un pub ; les trois balais. C’était surement le pub le plus populaire de prés-au-lard comme si toute la ville ne tenait que sur se bar, quand l’on penser à prés au lard on penser au trois balais. Elle pénétra à l’intérieur et les regards des hommes accoudé au comptoir se tournait vers elle, elle se contenta d’afficher un sourire vide. Elle commanda un whisky et alla s’assoir à une table dans un coin. Les regards se détournèrent alors d’elle. Elle sortit son calepin et un long crayon de bois rose ; elle regarda chaque des personnes qui était la. Et elle observa leur façon de se vêtir. Et c’est au milieu de cette bande d’ivrogne qu’elle l’aperçut. Un jeune homme très moderne, en tenue de ville elle ne put vraiment savoir si c’était un élève ou quelqu’un de plus âgé. Elle s’en fichait, il avait une coupe courte brune, il était grand et élancé, de morphologie assez musclé. Elle commença alors à dessiner ; un gilet d’homme assez foncé, puis une chemise blanche bien mise et ensuite une cravate à demie serrée, puis pour cassé ce style un peu costume elle ajouta un jeans noirs avec une chaine gothique sur la droite et une étoile anarchiste sur la poche droite ; puis elle dessina une paire de chaussure de soirée avec des épingle dessus. Elle lui dessina par la suite des mains, sur trois doigts de la gauche se trouvant des bagues tribales, puis elle lui dessina un cou et un visage doux, elle lui coiffa une légère crête d’à peine trois centimètres. Et pendant tout ce temps, elle avait enfilé cinq verres de whisky et fixait le jeune homme qui était entouré de trois amis. Qui d’un coup se retournaient tout les quatre pour l’observé, mais elle se contenta de sourire de ses dents blanche et de commencer un sixième verre.